The Witch Slay
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 Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden

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Sigmund von Wädenswill
Soldat de l'Inquisition
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Sigmund von Wädenswill


Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Vide
MessageSujet: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeJeu 20 Mar 2008 - 2:00

Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Inquis10
Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Inquis11

Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Effigi11

Nom : von Wädenswill Stube zum Rüden

Prénom : Sigmund Wolf

Surnom : Sig

Âge: Il a vu défiler trente quatre années et quelques poussières

Titre : Il descend de la noblesse de sang mais à l'inverse de ses pairs il vit dans les quartiers bourgeois.

Métier : Inquisiteur (même s'il ne se montre que trop rarement dans la collégiale)

Lieu de Résidence : L'homme a acquis un petit manoir dans le quartier bourgeois, celui ci se nomme à la vérité l'hotel des lys blancs... Simple coïncidence ? Probable... C'est simplement sa signature.

Relations particulières : A part sa sœur et sa nièce il n'a aucun lien particulier (enfin pas encore du moins.)
En dehors de cela il a de bonnes relations avec la Stübie (Stube zum Rüden, alias "Constaffel") qui réunie plusieurs familles nobles de Zurich, celle a été mise en place au XVème siècle, alors que la confédération helvétique prenait son indépendance et devenait la première démocratie différée d'Europe.


Sentiments vis-à-vis des Sorcières : Sans elles il ne serait pas ce qu'il est, doit-il les aimer ou non ? Ça n'a pas tellement d'importance, si certaines meurent d'autres en réchappent donc quelle importance ? Aucune à vrai dire, pour l'inquisiteur ça n'empêche pas qu'elles lui soient nécessaires pour appliquer sa « pseudo-vengeance ». Il lui est cependant arrivé d'en ignorer certaine qu'il considérait comme "inoffensives"

Objectif éventuel de développement : Bof, pas tellement d'objectif particulier, s'il revient en Lorraine c'est certes sous la demande du Vatican mais c'est avant tout pour des raisons personnelles. Et oui, après tout c'est là que vit ce qui lui reste de famille.
Il est potentiellement capable de trahir l'inquisition mais tout dépendra des circonstances.
Pour dire la vérité ses objectifs sont bien loin de ce que l'on pourrait imaginé, considérez que sa présence parmi les inquisiteurs n'est pas dû à une foi sans faille mais illustre à la perfection une catachrèse : "Soit proche de tes amis et plus encore de tes ennemis"


Signe distinctif :
Un signe distinctif ? Il ne cherche pas spécialement à se distinguer, les choses qu'il fait c'est avant tout pour lui qu'elles sont faites... Hum oui, en fait c'est une manière de ne pas répondre à la question Rolling Eyes
Disons simplement qu'il joue de temps en temps avec sa croix, d'ailleurs sa croix est toujours accrochée autour de son cou.


Description physique : Cet être si particulier arbore une silhouette fine et élancée, une silhouette qui amène bien souvent à le sous-estimer, il est grand certes, il n'est pas bien épais mais ce n'est pas pour autant que son corps est faible, dans sa démarche une certaine fierté se reflète, son port de tête laisse ressortir un prestige évident, un prestige dont il a conscience. Malgré tout il reste simple dans ses tenues, si elles sont de qualité les couleurs ne varient pas tellement, et seules deux couleurs sont en quantité distinguable, le noir et le blanc, deux couleurs opposées qui pourtant se marient à merveille sur sa peau clairsemée. Contrairement à sa sœur il a des cheveux d'une pâleur frappante, une teinte bien rare, une teinte d'un blond vermeil encore rare en ces temps – c'est d'ailleurs de sa mère qu'il a hérité de cette teinte si particulière – comme elle il les a bien longtemps laissé pousser mais aussi long soient-ils ses cheveux sont attachés par une lanière de tissu blanc et descendent harmonieusement le long de sa colonne vertébrale. A sa ceinture, ceinture bien souvent faite d'un tissu, pend une rapière italienne – les rapières italiennes ont la garde damasquinée – et à son cou il laisse pendre bien souvent une croix chrétienne, une croix encore plus fréquemment fondue dans de l'or à 24 carats. Comme son père il a pris l'habitude de porter des gants blancs et de lui il a hérité ces yeux bleu océan qui lui donne, ainsi que d'une peau assez pâle et d'un visage carré, visage qu'il entretient avec tact, jamais, jamais un poils solitaire n'a le temps de pousser sur sa douce peau, à vrai dire il est presque entièrement imberbe. Ce visage, son visage laisse bien souvent ressortir un sourire en coin, un sourire pouvant sembler être un mélange entre fierté, arrogance et énigme.

Description psychologique : Ce n'est pas qu'il ait une double personnalité mais plutôt qu'il affiche une certaine dualité, si d'un côté il peut sans difficulté aucune être tel un bouclier pour sa demi-sœur et probablement également pour sa nièce – il faut admettre qu'il ne l'a pas encore rencontrée ailleurs que par les écrits d'Eleonor – si avec sa sœur il fait preuve d'une extrême tendresse et d'une complicité tout de même limitée, n'attendez pas qu'il fasse part de son autre facette à cette très chère sœur adorée. En société il est tout aussi agréable et bien pensant, voir même trop indulgent et pourtant une ombre plane autour de lui, un néfaste sentiment s'est depuis une éternité emparé – enfin, depuis quelques années pour être plus précis – et envers certaines personnes il ne peut s'empêcher d'éprouver une macabre haine, on ne parle pas ici de personnes définies, à vrai dire en les rencontrant il n'a nulle certitude de ce qu'elles sont réellement mais par l'intermédiaire de quelques enquêtes bien menée il peut arriver qu'un bûcher soit mis en place par sa demande – bien qu'il préfère empaler ses victimes – après les avoir torturer bien évidemment – par la torture ses enquêtes avancent mais rares sont ceux qui ont eu l'occasion d'assister à ces séances si particulière... Peut-être est-ce pour cela qu'on ignore le plus souvent d'où lui viennent ses sources... C'est là un penchant qu'il préfère cacher aux yeux de tous, et surtout aux yeux des noblaillons, oui, vous avez parfaitement compris, le plus souvent il méprise la « fausse » noblesse comme il l'appelle si bien, lui est membre d'une corporation de nobles dont le nom ne vous sera dévoilée qu'en temps voulu – certes elle est basée à Zürich mais tout de même – essayez donc de comprendre un être aussi complexe, complexe et direct, direct mais réfléchi, calculateur et manipulateur... Cependant ne touchez pas à sa famille, toucher à la famille de ce manipulateur né, donc sa sœur ou sa nièce, est fort risqué... Quant à la croix qu'il porte... Bien qu'il joue régulièrement avec elle n'a de signification que pour ceux qui l'ont mené en ce monde, lui chasse les sorcière par vengeance, uniquement pour assouvir un besoin de vengeance personnelle.

Autre(s) :
Il a reçu dès son plus jeune âge des cours d'escrime et une rapière italienne lui a été forgée sur mesure.
A chaque bûcher auquel il assiste il laisse tomber une fleur de lys au pied des flammes. Fleur de lys à l'immaculée blancheur, fleur de lys en parfait contraste avec son esprit
Il n'aime pas tellement les manières des noblaillons, pourquoi toujours vouloir être remarqué ? C'est pour lui un inconcevable mystère.



Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Vita_a11

1594, Une année pour le moins banale, oh bien sûr, quelques évènements particuliers ont existé, 1594 correspond à la fondation de San Luis, c'est également une période de disette pour l'Europe et le début de la guerre de 9 ans en Irlande... Mais quelle importance après tout, quoiqu'il se soit passé en cette année c'est à cette époque que les nobles von Wädenswill Stube zum Rüden voyaient la naissance de leur premier héritier, premier héritier qui, selon la volonté de son père éminent membre de la corporation noble des « Constaffel », serait nommé Sigmund Wolf, deux prénoms pour un nom à rallonge, Sigmund qui se rapporte à la protection, Wolf ou le loup... Oh, lui n'aurait pas de problèmes à cause de la disette dont nous parlions plus tôt, les paysans peuvent bien manquer de blé mais à Zürich il y a tout le blé qu'il faut, la noblesse ne risquait pas de souffrir. Son enfance... Ce n'est sans doute pas à Zürich qu'il la passera mais au château des Wädenswill, les premières années sont pour le moins inintéressante, quelques précepteurs, une insignifiante nourrice, des bonnes à n'en pas finir et des parents qui l'aiment... Que demandez de plus ? Rien... Manque de pot, le sort en avait décidé autrement, Charlotte, originaire de la famille du Montvallon, sa mère donnait son dernier souffle alors que Sigmund avait 5 ans et quelques poussières, si il a réalisé ce qu'il se passait ce ne fut que plus tard, s'il a vu par moment Isabelle entrer dans la chambre de son père dans sa naïveté enfantine il ne se doutait pas encore de la suite des opérations. Isabelle von Wädenswill Stube zum Rüden – car son père se remaria fort rapidement – donnant naissance à une petite fille à peine deux années après la mort de Charlotte, petite fille pour laquelle Sigmund éprouva quelque admiration, quelque tendresse que vous ne soupçonneriez pas, demi-sœur ?
« Mais non, dira-t-il, c'est ma sœur unique »
Grandir... C'est dur de grandir, mais c'est plus simple quand on a quelqu'un à protéger et avec qui s'occuper. Ou du moins peut-il s'occuper d'elle lorsqu'il n'est pas avec l'un de ses précepteurs ou encore avec son maître d'arme – lorsqu'il eut 10 ans il a été décidé qu'il suivrait des cours d'escrime – un italien bien évidemment, c'est doute pour cela qu'il s'est spécialisé dans l'utilisation des rapières damasquinée plus confortables à la main, et offrant une moindre protection, la seule protection à prendre avec ce genre d'arme c'est le corps, agilité et vivacité sont importants avec ce genre d'armes. A présent la petite a 6 ans, ce jour là ils sont dans un arbre perché – bien sûr lui est monté plus haut que sa sœur – et s'amusent ensemble, lui n'hésite pas à emporter sa petite sœur dans ses jeux aussi dangereux soient-ils, il aura même essayé de lui enseigner l'escrime mais son maître d'arme l'avait visiblement à l'œil. Et ce jour là, Deborah, cette très chère nourrice s'inquiète pour Eli, la petite se fait bien sûr enguirlandée – apparemment, d'après papa ce sont des jeux de garçon – par Deborah sa nourrice, lui redescend au niveau de sa petite sœur pour la rassurer, lui se moque royalement de la nourrice en imitant les mimiques de celle-ci. Petite sœur est emmenée devant papa, petite sœur est grondée et finit par enlacer son père. Plus tard Sigmund se présentera devant son père.

« Je suis le seul à blâmer, ce qu'elle a fait elle l'a fait parce que je l'ai entraînée dans mes jeux
- Je sais... »

Rien à dire à part ça, rien du tout, son père ne devait rien ajouter... Qu'aurait-il pu y changer et qui était-il seulement pour battre sa fille, elle fut grondée rien n'était donc plus à faire. Les deux enfants grandirent donc en restant complices, tendresse est entre eux installée, malheureusement il semblerait que l'autre là haut ne les prenne pas en faveur, leur père devait en ces temps reculés tomber malade et de cette maladie il succomba, on n'essaiera pas de savoir ce qui est et ce qui est prétendument, Isabelle est accusée de sorcellerie, l'inquisition va bien évidemment imaginer un scénario, scénario que seul Sigmund croira, il sera totalement persuadé et alors qu'ils sont devant le bûcher il ne sourit pas, à vrai dire il est partagé entre deux sentiments, l'amour – filial bien sûr – qu'il a porté à Isabelle et la tendresse qu'il éprouve pour Eli le pousse à cacher la haine qu'il éprouve à savoir que depuis le début elle l'a manipulé lui et son père et qu'elle l'a amené à mourir... Alors que sa petite sœur de 10 ans détourne son regard de ce macabre spectacle Sigmund la prendra contre lui, à sa manière il la protège car elle souffre déjà suffisamment ainsi et n'a pas besoin de voir sa mère se consumer. Et pour en rajouter une couche, il tortureront la petite sœur, fatale erreur s'il en est. Ignorent-ils à quelle famille ils s'attaquent ? Si tuer Isabelle était fondé cette torture ne sera pas oubliée, ni même pardonnée. Avec Deborah ils partent en Lorraine, là bas une parente les logera, les nourrira, fera en sorte qu'Eli aille à la messe pour que le chemin d'Isabelle ne soit pas suivit, lui de temps en temps les accompagne, pourquoi rester là alors qu'il est présent apte à devenir inquisiteur. Il est formé en ces desseins, il disait bien des choses, les victimes qu'il avait pu faire parmi les prétendues sorcières, parfois il eu quelques soupçons mais tout revint à la normale, et toujours il la protégea, a-t-il pour autant oublié ce qu'ils ont fait à sa petite sœur ? Et non, c'est gravé en sa mémoire, et ne cachons pas qu'en plus d'être devenu inquisiteur il a hérité du titre de son père. A vrai dire s'il est encore en Lorraine c'est pour sa sœur et il y restera jusqu'à ce qu'elle se marie avec un vieux déchet, il assistera à ce mariage et prendra la route. Quelques temps il retournera à Zurich, là bas il fouillera dans le passé, il aurait voulu faire tomber le commanditaire mais visiblement quelqu'un l'avait précédé... Riez-en, c'est un arbre qui l'a précédé, non, que dis-je, ce fût une tempête qui a assassiné ce rustre d'inquisiteur... Dans ces cas là les autres devraient également payer– ou du moins ceux qui étaient encore en vie à l'époque – une traque qui dure, une série de manipulation s'ensuit, il les attire chacun dans ses griffes, à l'écart de tous soupçons il les abattra chacun leur tour, comment se débarrasser des corps ? Bah... Le feu pardi. Quelques feu de camps contenant quelques ossements humains... Et qui viendrait le soupçonner, au pire, sorcières seront soupçonnée mais lui jamais. Ce n'est qu'en 1625 qu'il aura accomplit son lourd fardeau, ce n'est qu'en 1625 qu'il s'arrête en son fief, ce n'est qu'en 1625 qu'il écrit à sœur sans jamais lui faire part de ce qu'il a fait dans ces années d'absence, ce n'est qu'en 1625 qu'il apprend l'existence de sa nièce. Ce n'est qu'au début de l'année 1626 qu'il reçoit une lettre des inquisiteurs lui demandant expressément de s'en retourner en Lorraine prêter main-forte à Louis Institoris, à vrai dire ce n'est pas pour le déranger, son fief fut laissé à la tutelle d'un homme de confiance, mais même en tant que noble il refusait totalement de se mélanger aux autres nobles, une maison fut achetée dans le quartier des bourgeois et c'est là qu'il devait s'installer avec une maigre assistance, c'est là qu'il vit aujourd'hui, quant à la collégiale... Il n'a jamais pris la peine d'y mettre les pieds, il est inquisiteur certes mais il préfère traquer ses proies seul.



Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Lusor310


Comment avez-vous entendu
parler de The Witch Slay ?
Par Vampire Kingdom en cliquant sur le lien ^^

Qu'est ce qui vous a le plus plût sur ce forum (didju, heureusement que je corrige les fautes d'orthographe ^^) ? Son contexte rare en ces temps perdus (y en a marre de tous ces amalgames de Harry Potter, ou
d'autres écrits) et son niveau d'écriture.


Disponibilité : Tout dépend de ma vie IRL quelque peu instable,
à savoir que je ne sais jamais la quantité de travail que je devrai mettre en place et donc je ne peux prévoir le temps libre qui m'est alloué.


Dernière édition par Sigmund von Wädenswill le Lun 29 Mar 2010 - 13:25, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeSam 22 Mar 2008 - 4:54

Voili voilou, à part pour le surnom (tout dépend de la réponse de la d'mi soeur ^^) c'est tout fini Very Happy
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeSam 22 Mar 2008 - 22:47

Bonsoir Sigmund !

Dons après lecture de ta fiche, je dois dire que j'apprécie assez le style malgré quelques termes de l'ordre du trivial parfois.

J'ai relève quelques questions :

"l'amour – fraternel bien sûr – qu'il a porté à Isabelle " Je croyais que c'était sa belle mère ?

Tu parles à un moment de ta petite soeur torturée, tu veux dire Eleonor?

Pour finir tu parles de "commenditaires", les commenditaires de quoi peux tu me le redire? ^^
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeSam 22 Mar 2008 - 23:17

Citation :
je dois dire que j'apprécie assez le style malgré quelques termes de l'ordre du trivial parfois.

Merci.. Mais... Juste comme ça, qu'appelez vous donc "termes de l'ordre du trivial" ?

Citation :
"l'amour – fraternel bien sûr – qu'il a porté à Isabelle " Je croyais que c'était sa belle mère ?

Oui, parfaitement et ? Ayant peur qu'on confonde amour et Amour, j'ai bien précisé qu'il s'agissait d'un amour fraternel en cela qu'avant cet évènement peu fréquent, il la considérait comme une mère de substitution (et la mère de sa demi-soeur... comment pourrait-il la haïr dès le début ?) bien que, je l'admets, j'ai omis de le préciser dans l'histoire... Honte à moi.

Citation :
Tu parles à un moment de ta petite sœur torturée, tu veux dire Eleonor?

Voui voui, bien qu'elle ne soit que sa demi-sœur biologiquement parlant, il la considère comme sa petite soeur à part entière.

Citation :
Pour finir tu parles de "commenditaire", le commenditaire de quoi peux tu me le redire?

Donc, je parlais du commanditaire des tortures qu'a subit Eleonor dans sa jeunesse (ce qui, entre nous, ne l'a pas empêché de devenir prêtresse). Je n'ai pas pris la peine de le préciser vu que la chose est déjà entièrement décrit dans la fiche d'Eleonor, d'où l'épisode de l'arbre et de la tempête, mais lui accomplit cette vengeance à son maximum. (bah oui, c'est sa demi-sœur, il fallait d'office que je prenne en considération sa fiche pour écrire l'histoire de mon personnage.)
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeSam 22 Mar 2008 - 23:37

J'entends par "Trivial" un peu familier, mais ça reste tout à fait dans l'acceptable hein ^^

Je ne comprends toujours pas cet amour fraternel à sa belle mère, je n'ai pas compris ton explication, désolé...

Pour Eleonor et les Commenditaires, c'est bien ce que j'avais cru comprendre Wink

PS: Ton avatar n'épouse pas les dimensions optimales que propose le règlement, si tu le souhaites on peut soit te trouver une image plus grande, soit -si tu as l'image de base- l'agrandir simplement voir même la coloriser etc.
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 2:16

Vive les bugs... Obliger de refaire le message -_-'

Citation :
J'entends par "Trivial" un peu familier, mais ça reste tout à fait dans l'acceptable hein ^^

Le langage familier est parfois volontaire Wink


Citation :
Je ne comprends toujours pas cet amour fraternel à sa belle mère, je n'ai pas compris ton explication, désolé...

Je vais essayer de faire simple mais ça va être dur.

Par amour fraternel j'entends lien moral, il respecte la personne pour la mère qu'elle a été - pas la sienne, celle de sa sœur - et avant que l'inquisition ne vienne mettre son grain de sel c'est la dernière personne qu'il aurait soupçonné. Malgré tout, suite au passage des inquisiteurs il fût endoctriné, par cela une réaction s'est enchaînée, il a pu accepter qu'elle ait tué son père et sa mère, certes il peut lui en vouloir pour cela mais ce qui fut n'est pas oublié - c'est sa belle-mère donc il l'a tout de même côtoyée un minimum - ce qui fait que devant le bûcher il est partagé entre le passé qu'il a eu et ce qu'il a appris dans le présent, sa haine n'est pas encore totalement amorcée mais le décompte est lancé. C'est ce qui explique en gros ce passage et ce qui suit Wink


Citation :
Pour Eleonor et les Commenditaires, c'est bien ce que j'avais cru comprendre

Alors c'est merveilleux


Citation :
PS: Ton avatar n'épouse pas les dimensions optimales que propose le règlement, si tu le souhaites on peut soit te trouver une image plus grande, soit -si tu as l'image de base- l'agrandir simplement voir même la coloriser etc.

Attendez voir si j'ai bien compris, c'est 170x300 maximum donc ça ne pose pas de problème si c'est plus petit ? Auquel cas j'adapterai la chose, c'est pas bien difficile à faire avec totoshop Very Happy
Edit : Bien que je l'ai déjà adapté d'une autre manière Laughing
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 12:24

* fais une entrée discrète *

C'est ce que l'on appelle l'amour filial même si il n'y a pas de lien de sang...

* repart avant de se faire taper * What a Face
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 13:02

Bon pour cet "amour filial" (merci Orphée xD) il serait plutôt important de le définir comme tel, car tu vois bien que ça prête à confusion pour les esprits infiniment lents tels que le mien -.-"

Pour l'avat non, s'il est plus petit ce n'est pas gênant, mais je ne sais pas si tu as remarqué, mais on s'ingénie à faire que tous aient un avat optimal ^^ Ca permet un esthétisme permanent, esthétisme auquel je tiens énormément avec Louis. Après c'est pas parceque ton avat est plus petit qu'on va pas te valider ^^ C'est surtout pour toi. Là il est bien (j'ai jamais été fan de l'effet de bord tel qu'il est maintenant, mais c'est une affaire de goûts ^^ Sinon j'aime beucoup l'image elle même)

Pour ta validation j'attends l'intervention d'Eleonor pour qu'elle vérifie la cohérance.
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 16:06

-_-'

On va mettre amour filial si ça prête à ce point à confusion Very Happy

Petit ajout cependant dans la section "autre"

Et donc j'attendrai le passage de l'intéressée... Allez hopopop, du nerf Eleonor Razz
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 21:12

Vala vala, j'arrive! (désolée hein, quand d'autres sont en week end, moi je bosse xD).

Pour moi, c'est tout bon!

Bienvenue grand frère adoré love
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeDim 23 Mar 2008 - 21:45

Dans ce casque les festivités commencent !

Fiche Validée !


Tu peux RP à présent, la Messe de Cendres serait un point de départ tout à fait intéressant. Wink
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MessageSujet: Re: Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden   Sigmund Wolf von Wädenswill Stube zum Rüden Icon_minitimeSam 7 Avr 2012 - 20:23

15 ans. Quinze ans ont passé depuis l'épisode du Champs de Muguets, il lui semble parfois s'y trouver encore, perdu dans les limbes du temps. Se rappelant les visages d'antan.

Il se souvient encore de Sébastien Garin, le Second de l'inquisition. Encore aujourd'hui il ne voit pas comment le jeune avait pu atteindre son poste. Il manquait clairement d'autorité, mais autre chose le dérangeait. L'oracle, lui n'avait aucunement confiance en cet Oracle, avec raison semble-t-il car l'Oracle s'est joué d'eux, lui qui se présentait comme un Ange se trouvait être leur Damnation.
Lorsque le mot lui parvint il prenait sereinement une collation, lorsque l'appel se fit sentir il était chez lui. Tous les inquisiteurs avaient été conviés sur place, lui parmi d'autres, sans oublier Touchedieu et sa clique, le fameux Gourdin et sa bande de Brigands.
Le Gourdin a lancé une chasse sauvage, une meute sanguinaire, en unisson s'est avancé sur les Sor... Sorcières ? Pourquoi ne se défendent-elles point ? Pourquoi sont-elles si pittoresque ? De loin il observe la scène, de loin car il fait partit de ceux qui étaient restés aux côtés du Second. Un Noble n'a pas d'ordre à recevoir d'un mécréant, ainsi sont les choses. Le problème principal s'est donné quelques instants après le début des sanglantes festivités. Le cri du Second n'a fait que confirmer ses soupçons. Tout ça n'est que trop simple, trop aisé. Tout n'est que Mascarade. Une Mascarade qu'il est nécessaire de briser. Du haut de sa monture il perçoit la mise en scène du fou du Diable, sans l'apprécier pour autant. A l'image du Père Ethan il s'est lancé
Contrairement à lui il n'hésite pas à sortir les armes si nécessaire. Le blond vieillissant ne se laisse pas marcher sur les pieds et arrête ses... Confrères massacreurs dans leur élan. Parfois les mots ne suffisent pas, parfois une coupure vous ramène plus facilement à la réalité qu'un mot bien pensé.
Inquisiteur contre Inquisiteur, vieux loup contre chien sauvage. Le vieux loup cependant finit par avoir le dernier mot, un chien sauvage finit par voir la raison s'il y est forcé. La facilité déconcertante avec laquelle les « Sorcières » se sont laissées massacrées est de loin irréaliste. Cependant le plus gros problème reste toujours le Gourdin et sa bande de Brigand.

Et... Tiens Cassandra, il l'avait complètement oublié celle là. Enfin, non, mais dans la situation présente, c'est la dernière personne dont il s'est préoccupé. Étrangement il n'arrive plus à la désigner par son nom de religieuse. Et autant sa présence l'avait un temps dérangé : il a ses méthodes et n'apprécie pas qu'on puisse lui mettre des bâtons dans les roues – ou dans les sabots si vous préférez. Autant trouver à présent non pas un mais bien deux êtres de raison dans cette meute sanguinaire le rassure.
Mieux encore, les paroles de Cassandra rejoignent ses pensées, quelle meilleure méthode pour arrêter une meute dans son élan que d'atteindre l'Alpha ?
Le Gourdin, tout méprisé soit-il, reste un raccourci non négligeable. Et Sigmund, sur sa monture voit mieux et plus loin que la Carmélite, plus loin il distingue les cinq silhouette blanche, le Gourdin et sa bande et désignée du regard.


« Suivez moi. »

Deux mots, juste deux mots. Et toujours à cheval il les guide, créant un sillon dans la masse désordonnée d'inquisiteurs pour finalement s'arrêter dans le sillage de la Bande au Gourdin. Avant même qu'il n'ait pu s'interposer le moine lui lance quelques mots.

- Touchedieu ! Rappelez vos hommes, il y a erreur ! Ce sont de simples villageois, qui n'ont rien fait !

Sans surprise tout ce qu'il obtient est un rire tonitruant. Et comme partageant le même avis Cassandra et Sigmund s'échangent un regard vide de toute surprise. Et la phase musclée peut commencer avec ce foutu Gourdin. Il faut avouer que s'attaquer à lui fut presque jubilatoire pour le Suisse. Rapière contre Gourdin, Loup contre Ours.

Les mots de la Carmélite furent, eux, plus convaincu, plus à la portée du Gourdin, de là à dire qu'ils eurent un effet immédiat... Ce fut tout particulièrement le cas de sa dernière tirade.


- Restez ici comme le dindon de la farce que vous êtes. Moi, je vais chasser la vraie sorcière. 

Un couteau érafle la joue du Suisse, en plus d'être malpropres ils sont lâches... Cependant, si Sigmund vieillit il est bien plus jeune que le Gourdin et il est certain que le Gourdin n'est plus dans sa jeunesse, il manque d'endurance sans doute.

« Et ainsi finit la carrière du Gourdin, un Brigand jusqu'au bout. Ces derniers jours coïncident avec le pire massacre qu'il ait permis. »

Une affirmation qu'il ne tient qu'à lui de démentir, en allant sur le parvis de l’Église, s'attaquer aux vrai Sorcières, voir à l'Oracle.
Quelques minutes de combat entre les deux inquisiteurs avant que le Gourdin prennent la raison en compte et rappelle ses hommes à l'ordre.

Mais cette nuit là ne devait pas finir sans qu'il fasse couler le sang, bien qu'il ne le sut pas encore le Suisse, l'Inquisiteur en cette sombre nuit ferait couler le sang de l'un des siens. Et par ce fait il sauverait également l'une des Siennes, à bien plus de titres qu'un simple Inquisiteur.
Tous furent réuni sur le parvis de l’Église, une réunion improbable, Sorcières et Inquisiteurs se trouvaient tous au même point. Et l'Oracle qui prend la fuite, l'envie de partir à la poursuite de l'enfant possédée se fait pressante mais ce n'est pas l'Ordre du Second qui l'en empêcha, il n'a que faire des ordres d'un chien de Guerre assoiffé de Sang. Non, c'est une toute autre chose, une silhouette, une chevelure qu'il lui semble connaître, poursuivie par un inquisiteur, par une bête assoiffée de sang et de chaire. C'est poussé par son instinct que Sigmund a lancé sa monture dans leur direction, et plus il se rapproche, plus il réalise qui peut être cette silhouette en blanc.

* Eleonore.. *

Il reconnaît son visage, il reconnaît ses yeux, il entend son souffle, il lit la peur alors qu'il arrive derrière son collègue ennemi. Il revoit des souvenirs d'enfance et fait ce qu'il aurait voulu faire quand sa sœur n'était qu'une enfant. Sigmund saute de scelle plus vite que jamais et sa rapière se libère de sa prison de cuir et d'argent pour frapper l'engeance inquisitrice en plein cœur, comme répondant au coup du destin le démon de Dieu crache son sang avant de s'effondrer au sol. Le frère et la sœur se regarde et s'échange un silence qui semble durer une éternité. Silence qui ne sera « brisé » que par le cheval donnant un coup de tête à son cavalier, comme pour le ramener à la réalité.


« Ne restes pas ici, rentres. Les rues ne sont pas sûres cette nuit. »

Aucun autre mot n'est nécessaire, ils savent, tous deux savent ce qu'ils risquent. Leurs vies, chacun à leur manière, l'un en ayant protégé une sorcière et l'autre en étant une fille d'Olrun. Tous deux garderont le secret de l'autre gravé dans leur âme. Chacun de leur côté s'en iront de leur côté. Quant à Sigmund il souhaite que l'Oracle ne soit pas tué, ou plutôt que le corps possédé ne le soit pas. Il est trop tard pour partir à sa poursuite et tout ce qu'il peut faire c'est garder un œil sur ses confrères, les empêcher d'aller trop loin.
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