Nom : D'Hasbauer
Prénom : Adrien
Surnom : ( Non officiel : Adou )
Âge : 33
Titre : Vicomte
Métier : -
Lieu de Résidence : Forbach
Relations particulières :Mari d'Elisabeth D'Hasbauer.
Père de Léonce et Alexandrine D'Hasbauer.
Sentiments vis-à-vis de l’Inquisition :L'Inquisition fait son "métier", nous faisons le notre. Ils chassent des chimères, nous essayons de leur échapper. Il y a toujours eu un nombre pair de forces dans le monde pour que chacune d'entre elle en ait une qui lui soit opposée. Nous avons les Inquisiteurs, à nous de savoir vivre avec.
Sentiments vis-à-vis des Sorcières du Lys Noir :Aucune animosité. Ce sont des sorcières comme nous le sommes. Je n'ai jamais compris la démarche d'Alicia, mais je l'estime énormément. J'ai beaucoup de respect pour elle, bien qu'elle ne semble plus m'en octroyer du tout. Elle ne comprends pas ce que je vis, et je pense qu'elle ne le saura jamais. Qu'importe, je ne peux pas lui en vouloir de me haïr, mais je souhaite de tout coeur qu'elle recouvre la raison. Quant à ses soeurs, elles sont autant les siennes que les miennes, bien que je suis quasiment certain que cela n'est pas réciproque.
Nom de votre Aguerrie : -
Nom de votre Apprentie : -
Objectif éventuel de développement :Des dizaines, des milliers, je suis relativement ouvert à toute discussion.
Signe distinctif : -
Description physique :Sur un morceau de parchemin, une plume trace son chemin. Des courbes manuscrites aux tournures arrondies, une belle écriture espacée, anoblie. Ce qui tient la plume ? Une main… Aux doigts à la fois forts et fins. Au bout de cette main, un poignet. Dans une parfaite continuité, viennent un avant-bras et un bras aux muscles fins et ciselés. On voit que la personne qui tient cette plume n’est pas une brute, mais qu’elle possède tout de même assez de puissance à l’état brut. Une épaule au port important s’enchaine à ce bras. Vient alors un cou gracieux et robuste. S’ensuit la tête d’un homme, un visage clair qu’il doit à son rang. Les courbes de son visage sont droites par endroits, mais l’ensemble reste d’une harmonie sans pareille. Son visage porte également quelques marques dues à son âge, mais elles restent encore discrètes. Ses yeux sont comme deux amandes dans lesquelles vivent deux iris d’un vert d’eau. (C'est-à-dire vert très pâle) Ces yeux sont surmontés de sourcils ni trop fins, ni trop épais, ils lui donnent une note de sévérité, de masculin dans un visage aux traits doux. D’ailleurs, son nez fin et droit ajoute encore à cette douceur. Sa bouche est composée de lèvres fines, mais demeure toutefois masculine. Ce visage doux et fin est encadré par une cascade de cheveux d’un blond virant au blanc. Cette cascade descend jusqu’au bas de son dos, et s’écarte en deux mèches de chaque côté de son visage.
Ce visage pourrait presque être possédé par une femme, pourtant, c’est un corps d’homme qui le porte. Un corps puissant mais pas à la A. Schwarzenegger (Désolé de la référence, mais je ne connaissais pas de référence de Mr. Univers à cette époque
). Si ses muscles sont finement ciselés, ils ne sont pas développés à la limite. Forgés avec le temps, c’est un entrainement quotidien à l’escrime qui l’entretient. Robuste et bien droit, cet homme possède un charisme exemplaire et une posture pouvant impressionner des êtres plutôt craintifs. C’est aussi sa taille qui joue dans cette affaire-là, car il est évident qu’un homme d’un mètre quatre-vingt quatorze est impressionnant à regarder lorsqu’il est en face de soi, non ?
Son style d’habillement est un peu délicat à décrire en texte, je propose donc une image, car mon professeur de chimie me disait toujours : « Un bon schéma vaut mille mots. »
Lors du réveil, Adrien suit généralement toujours le même rituel. Sortant du lit, il fait un brin de toilette et s'habille. Il enfile un sous-vêtement, puis une chemise à manches courtes blanche. Il fait ensuite un noeud avec une pièce de tissu blanche qui passe sous le col de sa chemise. Il enfile ensuite un pantalon de cuir léger noir relativement moulant dans lequel il rentre les pans de la chemise. Puis il passe un blazer de cuir noir orné de petits clous sur les côtés et qu'il ferme avec d'épaisses attaches métalliques argentées. Puis il attrape une ceinture de cuir noir elle aussi, qu'il ferme à l'aide d'une boucle dorée dont les abords sont argentés pour rappeler l'éclat des attaches du blazer. A cette même ceinture est accroché un fourreau, celui de son épée. Cette dernière est simple, une lame aiguisée, droite, dont la garde est d'une dorrure fine et élégante. Il enfile ensuite de longues bottes de cuir noir cirées qui remontent jusqu'en dessous de ses genoux où elles se replient sur elles-mêmes et retombent de chaque côté sur une dizaine de centimètres révêlant ainsi leur intérieur blanc. Il attrape enfin un veston de cuir léger noir de la longueur d'un trois-quart - qui lui descend donc jusqu'au milieu des cuisses - sur lequel les boutons ainsi que les extrémités du tissu ont été brodés de fils d'or. Le col de ce veston est haut et Adrien le fait retomber en un V renversé d'une couleur or. L'intérieur du veston est de la même couleur que l'intérieur des bottes. Puis, Adrien passe des gants de cuir noir, dont la garde est longue et évasif. Des motifs dorés ornent ces gardes. Enfin, il passe sur son dos une longue cape noire élégante qui tient grâce à une chaine qui repose sur le haut de son torse. Cette cape lui permet, entre autres, en plus de l'élégance qu'elle apporte, de cacher le fourreau de son épée qui dépasse de son veston, à toute personne qui l'approche par derrière, ou sur le côté...
Description psychologique :Pour décrire entièrement le caractère d’Adrien d’Hasbauer, il faut considérer deux situations. La première, chez lui, avec sa femme et ses enfants. Là, il se révèlera être un homme simple, un père affectueux, favorisant peut-être son fils, comme tout les pères, mais ne délaissant pas pour autant sa fille. Amoureux de sa femme, il est très fidèle et est un mari attentionné. Au sein de sa famille, c’est un homme simple, connaissant ses responsabilités, mais pourtant très joueur. En effet, il joue beaucoup avec ses enfants, car c’est quelque chose qui le détend, qui lui fait un peu oublier les intrigues de pouvoir dans lesquelles il baigne toute la journée. Il n’est pas rare de le voir au chevet de leurs lits pour leur raconter une histoire dans le but de les aider à s’endormir. Après, il passe le reste de la soirée en compagnie de Lisa, son épouse, ou alors travaille dans son bureau lorsque le travail l’oppresse jusque chez lui… Ainsi, calme, simplicité, sérénité, famille et passion sont les mots qui décriraient le mieux Adrien.
Et ce, même lorsqu’il sort de chez lui. En effet, même au cœur des intrigues de pouvoir qui se jouent jours et nuits, il sait garder son calme et sa sérénité devant n’importe quelle situation. Préférant de loin réfléchir suffisamment longtemps sur la solution et l’attitude à adopter dans les cas qui se présente à lui, il n’hésite pas non plus, quand il le faut, à sortir l’épée du fourreau. Et ce, surtout pour défendre les êtres qui lui sont proches, et notamment sa femme et ses enfants. Il a un goût prononcé pour l’ordre lui aussi, et c’est pourquoi il a suivit sa femme et est resté dans le Clan d’Olrun. Il aime généralement tout prévoir à l’avance et qu’ensuite tout roule sur des roulettes, surtout quand il s’agit d’affaires professionnelles, car bien sûr, il redoute la monotonie dans sa vie de couple.
Autre(s) :Affecté par le meurtre de son Cousin, il gère maintenant avec responsabilité le domaine de Forbach.
Adrien est né de l’idylle entre le Vicomte Damien d’Hasbauer et la sœur de la mère du Comte de Forbach, la charmante Elena de Forbach. Les deux amants s’entendaient à merveille malgré leur mariage arrangé et rapidement ils décidèrent de faire un enfant. C’est alors que trente et un an avant cette date, le jeune Adrien d’Hasbauer vit le jour. Sa prime enfance se passa bien. Ce n’était pas un enfant gâté, sans pour autant être privé, et il écoutait avec assiduité les cours de son précepteur. Bien que comme tout enfant, il eut une période de remise en question d’autorité, celle-ci vint très tôt et passa tout aussi vite. Adrien était un jeune garçon sage qui savait rester à sa place lors des réceptions et qui était très poli. Sa mère l’emmenait souvent voir son jeune cousin, le futur Comte de Forbach. Leur âge proche, car il s’était écoulé entre leurs deux naissances un intervalle de quelques mois seulement, était un facteur déterminant pour leur entente presque parfaite. Les deux jeunes hommes avaient partagés cours, entrainements à l’escrime, et parfois, mêmes aventures, lorsqu’ils sortaient du château en douce… Bien sûr, suite à cela, ils avaient aussi partagés les corrections qui en découlaient. Ces moments passés ensemble les avaient beaucoup rapprochés et malgré la suite des évènements et une petite période où ils ne s’étaient pas beaucoup vus, mais où ils s’étaient beaucoup écrit, ils sont très proches tous les deux.
Plus tard, alors qu’il approchait les douze ans, son père fit venir une personne au château. Enfin, faire venir est un bien grand mot, en réalité, cette personne s’était invitée d’elle-même. Pour ne rien vous cacher, c’était une sorcière d’Orlun. Alors qu’elle passait à proximité du château, elle avait ressentit le potentiel du jeune Adrien. Son père savait que c’était folie que de refuser une telle entrevue avec son fils, et, instinctivement, il savait que cela lui profiterait, même si pour cela, il devait faire très attention, car l’Inquisition guettait. De toute façon, il n’aimait pas ses vaniteux de l’Inquisition, et c’était un bon moyen de détourner son fils de cette voie peut enviable… Adrien passa alors de nombreuses heures, jours et mêmes quelques années à l’apprentissage de la magie. Elle ne lui révéla que bien plus tard qu’elle était prêtresse du clan d’Orlun. Elle lui révéla aussi que son potentiel de pouvoir était conséquent et qu’elle devait le présenter au clan lorsqu’il serait plus grand, et qu’il maitriserait encore mieux ses pouvoirs. Elle lui dit alors qu’elle reviendrait dans trois ans, le jour de ses dix-huit ans. S’il avait encore progressé, par lui-même, elle l’emmènerait une semaine lui apprendre le reste qu’il devait savoir et le proclamerait Aguerri du clan avec l’appui de ses Consœurs.
Adrien continua alors son entraînement magique. Il alternait les cours de son précepteur, les cours de son maître d’armes, et les cours qu’il devait voir et revoir, donnés par la prêtresse. N’étant pour l’instant qu’un simple Apprenti, il redoublait d’efforts pour être à la hauteur de ce qu’attendait de lui la prêtresse et aussi pour faire plaisir à son père qui lui avait donné son point de vue. Les trois ans passèrent bien vite, mais le jeune Adrien avait bien appris. Devenu méthodique et autodidacte, il progressait tous les jours et le jour de ses dix-huit ans, après la fête donnée à son anniversaire et la transmission du titre de son père à lui, la prêtresse tint sa promesse et vint le chercher. Alors elle s’isola avec lui pendant un moment pour vérifier qu’il s’était amélioré et sa surprise fut grande. Certes il ne maîtrisait pas encore tout, mais il savait se servir de la magie comme un Aguerri. Il fallait seulement, maintenant, le présenter au Clan, mais cela ne serait qu’une formalité. Elle l’emmena donc, l’enleva du foyer de ses parents et le présenta. Présenté comme Apprenti et Initié, il passa Confirmé. Le temps lui donnerait son statut d’Aguerri, ainsi qu’une autre surprise.
En effet, l’année de ses vingt-trois ans, alors qu’il continuait toujours son apprentissage de la magie avec ardeur, son père lui annonça qu’il avait conclu avec le duc de Bourgogne, un mariage arrangé, avec sa nièce, Elisabeth Abygaëlle de Bourgogne. Au début, il faillit protester, mais après tout, il connaissait aussi bien que son père le monde du pouvoir, et il savait qu’il ne pourrait rien faire de toute façon. Il attendit avec appréhension le jour du mariage. Car si le marié n’avait pas le droit de voir la mariée dans sa robe avant l’église, lui n’avait même pas connaissance de celle avec qui il passerait sa vie, mis à part son nom… Pourtant, lorsqu’il la vit, ses peurs s’évanouirent. Elisabeth était une jeune femme ravissante… Âgée de 16 ans, elle lui paraissait un peu jeune, mais elle était tellement belle… Il était rare de voir des mariages arrangés, bien tomber, mais là, le jeune homme était aux anges. Il espérait de tout cœur qu’elle l’apprécie également. Ils prirent le temps de faire connaissance, Adrien ne la brusquait pas et veillait à ses besoins. Il agissait en mari charmant et attentionné.
Pendant ce temps, Adrien était passé Aguerri. Il avait acquis également suffisamment de sensibilité au pouvoir pour le déceler chez sa compagne. Ainsi, alors qu’il lui avait caché les raisons de ses départs nocturnes de temps en temps, il prit le temps de tout lui révéler. Puis, il l’initia à la magie. Pendant ce même temps, ils conçurent leur premier enfant, qui, au bonheur d’Adrien était un garçon, qu’ils prénommèrent Léonce, Elisabeth avait alors 19 ans et lui vingt-six ans. Suivant la progression d’Elisabeth avec intérêt et amour, il fut très heureux de la voir devenir Aguerrie à son tour l’année de ses 21 ans. La même année, ils concevaient un deuxième enfant, une fille, Alexandrine. Adrien était un mari et un père comblé, un sorcier accompli. En effet, le jour de ses 29 ans, les prêtresses décidèrent de l’élever au rand de Sage, une consécration pour ses efforts et sa volonté.
Un peu plus tard dans l’année, vint la trahison d’Alicia. Lui-même avait voté pour Abigael. Il voyait en Alicia, une jeune femme trop sûre d’elle et peut-être dangereuse. Finalement, il ne s’était pas trompé, mais aurait préféré le faire. La séparation qui s’en suivit ne l’enchanta pas. Pourtant il fallait vivre avec, et il continuerait de le faire, aux côtés de son épouse, pour la soutenir et l’aimer…
Comment avez-vous entendu parler de The Witch Slay ?Une connaissance.
Qu'est ce qui vous à le plus plu sur ce forum ?Son entièreté.
Disponibilité :Connecté au moins une fois par jour sur le forum. ( En moyenne )