De 1617 à 1623

C'est en Hiver où plus précisément le 23 novembre 1617 que naquit le jeune Almar, fils unique de Jean de Lendalle et de Sophia Prisca, l'un originaire de France et l'autre du Vatican. Vivant sur l'île de Malte, le jeune homme put vivre une enfance joyeuse loin de tous les malheurs de notre monde. Il est à noter également que grâce à sa famille, il pût apprendre à parler couramment le Français et le latin ainsi que quelle que base de l'Italien.

De 1624 à 1629

A l'aube de ses sept ans, Almar devint le valet d'arme de son père, chevalier de l'Ordre de Malte afin de suivre la même formation que ses ancêtres. Ainsi il allait devenir la troisième génération à servir la volonté de dieu, mais pour l'heure, sa tâche consistait à uniquement ranger et apporter les effets personnels de son géniteur tout en apprenant le catholicisme au sein de l'église de sa ville natal.

De 1630 à 1635

Durant ces années de sa vie, le servant pût apprendre à écrire correctement en français et en latin tout comme il pût être formé le maniement basique des armes de guerre en ayant une plus grande infinité avec les lames. Ainsi tour en aidant son père dans ses tâches de la vie quotidienne, il pût suivre une éducation à la fois scolaire et martial.

Ayant appris finalement à monter à cheval, il fût promu écuyer et continua à servir Jean du mieux qu'il pût avant de le rejoindre dans l'une des guerres les plus sanglante de son siècle, la guerre de trente ans en 1634. Ainsi, durant un an il livra bataille aux côtés de son maitre et père avant que celui ne perdît la vie lors d'une embuscade protestante le 6 août 1635. Gravement blessé, Almar fût sauvé de peu aux royaumes des morts. C'est donc seul et avec une effroyable cicatrice de guerre qu'il rentra à Malte.

De 1636 à 1640

Perdu et aussi bien touché physiquement et mentalement, c'est avec peine qu'il termina sa formation avant de finalement se faire adouber à l'âge de dix-neuf ans, ainsi tout comme son père et ses ancêtres il devint Chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, plus souvent connus sous le nom de l'Ordre de Malte. Etant un vétéran de la guerre, Almar préféra suivre la voie de la sagesse et de la connaissance en entreprenant une formation de Démonologue avec ses frères catholiques.

De 1640 à 1643

Durant ses années d'études, le gardien de la foi pût apprendre les mathématiques et l'astronomie en plus de la démonologie. C'est ainsi en 1942 qu'il écrivit un livre nommé « Des démons et des hommes » retracent ainsi les sept péchés capitaux en comparant des figures historiques aux démons afin de prouver que le malin se cache en chacun de nous. Moyennement appréciait, son ouvrage fût tout de fois transcrit en une trentaine d'exemplaires avant d'être distribués à travers toute l'Europe.

Moins d'un an plus tard, il reçut une missive singulière de la part d'une certaine Narcissa de Saint-Loup, l'invitant à la rejoindre dans sa demeure située à Forbach afin de discuter de son grimoire. Connaissant ce grand nom de l'église, il ne pût se résoudre à refuser cette offre, c'est ainsi qu'il entreprit un voyage de quatre longs mois pour finalement atteindre ce petit village qui fût autrefois le repère de nombreuses sorcières, mais depuis peu, grâce à la bravoure de l'inquisition, ce hameau pouvait enfin vivre en paix.

Une fois sur les lieux, Almar fît enfin la connaissance de cette jeune femme. D'abord, surpris par son jeune âge puis par sa connaissance, la rencontre fût finalement simple et très enrichissante pour les deux parties, leurs conversations se portant essentiellement sur les arts et la littérature. C'est donc en bon terme qu'ils se quittèrent, enrichie par cette expérience. Moins d'une semaine plus tard, le chevalier reprit la mer, mais cette fois-ci avec une jeune chienne braque de Weimar acheté plus tôt à un éleveur, très rapidement un lien se tissa entre l'homme et la bête.

De 1644 à 1645

Une fois de retour dans son domaine de Malte, le démonologue poursuivit sa quête de connaissance avec la Sainte église. Tout en écrivant son nouveau livre intitulé « Des symboles infernal », ce fût cette fois une lettre provenant du Vatican qui fût remis en main propre au bientôt trentenaire. Quelle ne fût pas sa surprise quant-il découvrit à l'intérieur un ordre de mobilisation émit par le Pape lui-même ! Forbach connaissait une nouvelle crise et son expertise dans le domaine du malin ne pouvait être qu'utile.

Pour la seconde fois de son existence, il fît route vers la Lorraine pour y faire parvenir la lumière de dieu. Une maison lui fût octroyée, prouvant sans nul doute que sa visite risquée d'être plus longue que la dernière fois. Que pouvait bien lui réserver ce village dans la brume ? Étais-ce le commencent d'un rêve dans les ombres ou au contraire un cauchemar dans les ténèbres... ?