Un nouveau venu....

Oblivius

ploc ploc ploc ploc... La pluie tombait sur la ville de Forbach. De l'eau, une flaque. Elle ruisselait tranquillement sur les pavés et.... splach. L'homme, qui vient de marcher en plein dedans, jura, leva sa botte trempée et jura de plus belle.

*Maudite pluie nordique, il ne pleut pas comme ça en Italie*

Il continua tant bien que mal sont chemin, s'arrêtant ici et là pour observer les enseignes et les différents lieux, avant d'arriver a sa destination. L'Auberge de la Croix Rousse éclaira son visage quand il passa près des fenêtres. Le bâtiment lui semblait petit contrairement aux autres Auberges et Tavernes qu'il avait eu le loisir de fréquenter. La porte grinça quand il l'ouvrit et quelque chose sonna clairement. Entrant dans cette auberge, il fut d'abord surpris par la taille de la pièce.

*Diantre*

- Hé vous là, cria quelqu’un

Il releva rapidement la tête pour voir qui lui adressait la parole et vit une femme derrière le comptoir en train d'essuyer un verre.

- Oui vous ! cria t-elle par dessus le vacarme de l'endroit, fermez la porte il va pleuvoir dedans et enlevez votre manteau dégoulinant d'eau.

Il ferma la porte, accrocha son manteau au mur, dévoilant ainsi une paire de pistolets, s'assit a une table et posa son sac de voyage sous la table avec ses pieds dessus. Une serveuse arriva rapidement et prit sa commande. Un repas chaud et une carafe de vin. Il observa le lieu et les gens en attendant. Son repas vint rapidement et retint la serveuse par le bras lui sourit et lui demanda:

- Dites moi, mon enfant, pouvez vous me rendre un service ?
Elle rougit un peu:
- Cela dépend de la nature de votre service.
- Oh non ce n'est pas du tout ce que vous pensez. Un message a transmettre. Approche, il y a des choses que certains doivent savoir mais pas d'autres.

Elle se pencha, il lui dicta le message en question et son destinataire. Il déposa un francs dans sa main en remerciement, la lâcha et commença à manger tranquillement sous le regard suspicieux de certains hommes. Ayant fini son repas, il dégusta sa chope jusqu'au moment où la fille revient avec le destinataire du message. Il se leva et lui dit, en tendant la main:

- Bonjour Monsieur. Je vous en prie, asseyez vous.

Mort(e)

Il pleuvait… Comme si le ciel déversait une nouvelle fois des larmes pour Forbach… Une nouvelle catastrophe en vue ? Peut-être… Ce Comté était loin d’être épargné par le sort, et après les esprits et les créatures démoniaques, qu’est-ce qui pouvait bien encore attendre, tapi dans l’ombre, la petite ville encore endolorie des blessures amères de la trahison ? Nul n’aurait pu le dire sans certitude, et pas Lorenzo. Non, ce n’était pas dans ses compétences, et il était plutôt homme à se soucier du présent, plus que du futur, du moins du futur plus lointain que proche. Car s’il était un futur auquel il s’intéressait, c’était bien celui qui allait arriver dans quelques instants. Une jeune femme lui avait remis, quelques dizaines de minutes plus tôt, une petite note manuscrite qui faisait référence à un message plus ancien, un message qu’il n’avait pas oublié non. Il portait d’ailleurs ce dernier dans une poche intérieure. La remerciant, il lui avait offert de la faire raccompagner en voiture, pour éviter qu’elle n’ait à subir encore la pluie, la pauvre était trempée et elle n’aurait pu qu’attraper la mort dans un nouveau retour.

Cette lettre l’avait d’ailleurs beaucoup fait rire. Le Duc de Mantoue dans toute sa splendeur ! Mais au-delà de la recommandation, assez mauvaise d’ailleurs, le sujet était déjà plus intéressant. Un nouvel Inquisiteur arrivait en ville, Italien qui plus est, et lui demandait de l’appuyer officieusement. L’idée était intéressante, mais devait être jaugée pratiquement. Le dernier en date s’appelait Gabriel et n’avait pas vraiment bien fini. Mais bon, visiblement cet homme, cet Alfred Cotinteri, ne semblait pas pratiquant des mêmes méthodes que Touchedieu, ce qui n’était pas plus mal. Il n’avait pas été très difficile de trouver quelques informations sur cet homme. Après tout, les informateurs ne manquaient pas dans la poche de Lorenzo et l’argent non plus. Pourtant il n’y avait pas grand-chose à trouver, certes c’était beaucoup plus qu’avec l’Oracle, mais il n’y avait pas grand-chose d’intéressant. Une personne comme une autre, un destin légèrement particulier, mais pas de coup d’éclat magistral. C’était bien. On s’éloignait davantage de Gabriel et c’était ce qu’il pouvait espérer de mieux. La dernière chose en date que l’on savait de cet Alfred était sa magnifique démonstration de force sur le parvis d’une petite église, pour la mise à mort, publique, d’un petit curé jugé d’hérésie. Le Comte avait eu un sourire carnassier lorsque son homme de main lui avait raconté cette histoire. A croire qu’il n’y avait que les Italiens pour des mises en scène parfaites… Le monde était décidément très bien fait.

L’auberge se dessinait dans la chaleur du crépuscule naissant à l’horizon ensoleillé – présage d’une possible accalmie pluviale -, assombrie par la pluie qui tombait drue. La voiture s’arrêta devant l’auberge. Un homme vint ouvrir la porte et Maestriani en descendit, puis il tendit une main à la serveuse pour l’aider à descendre, comme le voulait la galanterie, puis ils rentrèrent dans l’auberge. Une fois rentrée, elle lui prit son manteau avant de lui indiquer la table de celui qui l’avait fait mander. Il ne l’avait pas attendu pour le remarquer, seul homme assis à une table, dont le physique n’avait rien d’un homme du coin. Il remercia la serveuse et lui demanda de lui ramener un verre de bon vin tout en lui donnant une pièce d’or, précisant qu’elle pouvait garder la monnaie, et traversa la salle. Les discussions cessèrent lorsqu’on le reconnut, mais cette fois-ci ce n’était pas à cause d’une haine face à un arriviste étranger, mais bel et bien par respect pour le Sauveur de Forbach. Il les invita à ne faire comme si de rien n’était et fut salué par l’homme qui l’attendait. Lui rendant le salut de la main, le Conti s’installa avec lui à la table.

« - Bonjour Monsieur Cotinteri. Avez-vous fait bon voyage ? Navré de devoir vous accueillir en cette ville sous la pluie, mais hélas le climat est beaucoup moins paisible que celui de notre patrie. »

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« - Bonjour Monsieur Cotinteri. Avez-vous fait bon voyage ? Navré de devoir vous accueillir en cette ville sous la pluie, mais hélas le climat est beaucoup moins paisible que celui de notre patrie. »

Il prit sa chaise et s’assit tranquillement en même temps que son voisin. Il avait été quelque peu étonné qu’un homme comme Maestriani pouvait faire taire une salle juste par sa présence. Quand lui-même était arrivé quelques temps plutôt, personne n’avait bougé la tête, à l’exception de la tenancière. La serveuse arriva, déposa un verre de vin devant Maestriani et repartit aussitôt.

- Monsieur Cotinteri ? Vous devez faire erreur monsieur, je ne suis que son cousin Francesco Corvin. Il ne vous a point prévenu de son empêchement ?

Disant cela, il fit un léger clin d’œil à son interlocuteur. Il espérait que celui-ci comprenne qu’il devait cacher sa véritable identité.

- Mon cousin vous prie de l’excuser mais il a été retenu dans un petit village. Une affaire pas bien grave d’après ce que j’ai compris, mais assez pour retenir son attention. Sinon le voyage fut agréable si l'on oublie le passage des cols des montagnes pleines de neiges.

Il testait son interlocuteur pour savoir, indirectement, si celui-ci c’était informé sur son compte. Un léger sourire apparut sur son visage. Un autre homme venait d’entrer dans l’auberge, les deux hommes se regardèrent longuement puis le nouveau fit un léger signe de tête et s’assit au bar. Alfred reporta son regard sur le comte et lui dit :

- Excusez-moi, j’ai cru revoir une veille connaissance. Bon venons-en au cœur du sujet. Vous savez sans doute les projets que mon cousin prépare et qui visent certaines personnes de cette ville et d’autres aux alentours ? Vous savez également le service qu’il vous a demandé. Étant donné son manque de moyen pour financer une telle opération, cela ne m’étonne qu’a moitié. Il a toujours vu les choses non par la taille mais plutôt par le prix. Il m'a également demandé de lui écrire la conclusion de notre rencontre en ce lieu. Si cela ne vous dérange pas.

Il sortit un parchemin, une plume et de l'encre de son sac de voyage et posa le tout sur la table devant lui, en prenant soin de ne rien renverser.

Mort(e)

Lorenzo suivit du regard la serveuse qui s’éloignait pour continuer son service ailleurs dans la salle. La jeune femme était attirante et la pauvre devait s’attirer bien des familiarités peu enviables de la part de quelques pochtrons malavisés. Il reporta néanmoins suffisamment rapidement son attention sur son interlocuteur lorsque celui-ci s’étonna de se faire appeler par son nom. Il put alors déceler le léger signe, discret par nature, mais déjà trop ostentatoire qui en disait long sur la manigance de cet individu. Le secret sur ses intentions et son nom… Voilà qui en disait long sur celui qui visiblement voulait vraiment agir dans l’ombre. Qu’importe, ce n’était pas spécialement dérangeant, voir peut-être intéressant. Mais un nom était bien moins utile qu’un visage, et de ce dernier, on ne pouvait se défaire. Espérons seulement que Lorenzo fut le seul à déceler le fameux clin d’œil, sinon la maigre tentative de sieur Alfred aura été vaine. Toutefois, sans s’en soucier davantage, le Comte écouta patiemment ce que lui racontait Francesco Corvin, le fameux cousin chargé d’être là à la place d’Alfred tout en excusant ce dernier de ne pas pouvoir être là au rendez-vous.

« - Je crains que la missive chargée de m’en informer n’ait jamais trouvé le chemin de mon bureau et se soit égarée en cours de route, mais cela n’est pas non plus un drame. » Lorenzo avait répondu d’une voix calme et impassible, chantante de par son accent italien. Il prit une gorgée de vin et rajouta. « J’espère seulement que votre cousin saura nous rejoindre rapidement. »

Le nouveau venu n’échappa pas au regard avisé du Comte mais si Alfred y voyait un quelconque intérêt, ce n’était pas le cas de Lorenzo. Tandis que l’Inquisiteur s’égarait en silence, Maestriani reprit une gorgée de son verre de vin. Exquis s’il en était un, la patronne ne s’y était pas trompée. Après tout, aurait-elle osé lui servir de la piquette ? Peut-être… Mais les conséquences auraient été fâcheuses, n’est-ce pas ? Tandis que nos deux amis semblaient se mettre d’accord, Lorenzo adressa un petit signe de main à la serveuse tout en lui désignant le verre à présent vide. Elle hocha de la tête pour lui dire qu’elle avait compris et il revint à son interlocuteur qui semblait également être revenu à ses moutons. Il parla affaire, de ce fameux projet concernant les personnes de Forbach et des alentours. Bien entendu, lui savait qu’on parlait de sorcières, mais on aurait pu croire à tout autre chose, quelques projets commerciaux, ou d’autre genre. Alors que la jeune fille ramenait un nouveau verre à Lorenzo et le débarrassait du premier, il déposa deux nouvelles pièces d’or à la jeune femme en lui proposant discrètement de venir travailler au château, loin de ces soudards malpolis pour gagner, chaque semaine, ce qu’il venait de déposer sur la table ainsi qu’un endroit ou dormir et de quoi manger. Les cuisines avaient besoin de personnes et cette petite y méritait sa place, la pauvre ne méritait pas cela. Il rajouta que la proposition ne tiendrait que jusqu’à ce qu’il parte, et qu’elle devrait le voir à ce moment-là si elle acceptait. Puis, la laissant partir, il se concentra sur l’Inquisiteur.

« - Oui, j’ai encore en tête les propos de votre cousin. Néanmoins, vous seriez bien habile de retenir ce que nous dirons sur cette affaire plutôt que de le coucher sur papier. Votre cousin vous fait suffisamment confiance pour venir quérir ma réponse, je pense qu’il aura tout autant confiance dans ce que vous lui direz de vive voix. Je sais que votre cousin m’a proposé de soutenir un projet sans précédent et il serait surement fâché d’apprendre que des informations à son sujet auraient pu être malencontreusement divulguées. N’est-ce pas ? »

Il marqua une pause avant de reprendre.

« - La proposition de votre cousin m’intéresse au plus haut point. J’accepte de lui fournir tout ce dont il aura besoin, autant sur le plan matériel que financier, si tant est que bien sur cela reste dans le cadre de son projet, mais j’exige bien entendu un juste retour de sa part. »

Oblivius

" ...je pense qu’il aura tout autant confiance dans ce que vous lui direz de vive voix. Je sais que votre cousin m’a proposé de soutenir un projet sans précédent et il serait surement fâché d’apprendre que des informations à son sujet auraient pu être malencontreusement divulguées...."

Il leva la tête et croisa le regard de Maestriani. Il attendit que son interlocuteur ai fini de parler pour répondre calmement.

- Vous avez raison, monsieur, il serait extrêmement mécontent de savoir que certaines informations ont disparues ou ont été volées par des personnes malhonnêtes. Mais si je prends quelques notes, c'est parce que j'ai une mauvaise mémoire et que j'ai peur d'oublier certains détails. Pour le juste retour des choses concernant notre projet, il songeait à la... comment dire ?... renommé que vous auriez en cas de réussite de celui-ci. Lui-même n'est pas intéressé par la gloire qu'il pourrait en tirer. Il songeait également à quelque chose de plus radical. Un soutient de notre organisation en Italie. Il a, d'après ces explications, de bonnes relations avec certains Grand Gens d'Italie. Vous pourrez en parler avec lui dès son arrivé. Enfin, je ne souhaite pas vous retenir plus longtemps, vous avez du travail je présume.

Il jeta un coup d’œil au comptoir pour voir si l’homme était toujours là et, en effet il était toujours présent au bar.

- Si vous souhaitez toujours me rencontrer, je demeurais ici en attendant que mon cousin arrive.

Mort(e)

Spoiler:

Le Comte n’avait pas quitté son interlocuteur des yeux pendant son petit discours, que ce soit concernant la discrétion dont il devait faire preuve, ou du « juste retour des choses » qu’il évoquait comme remboursement d’un soutien quasiment inconditionnel mais plus que discret. En affaire, on ne parlait pas à la légère et voir les yeux de son vis-à-vis était important, ne serait-ce que pour être certain qu’il ne préparait pas un coup en douce. C’était plus fréquent qu’on ne le pensait, puisque chacune des deux parties essayait souvent de léser l’autre tout en ne se faisant pas léser. Mais dans ce cas présent, Lorenzo était en position de force même s’il devait rester prudent quand à l’évolution des choses dans un avenir proche. Le Gourdin avait été un bon investissement mais c’était révélé bien trop inefficace sur la fin. L’erreur ne devait pas être renouvelée et il y veillerait. Car si le coup de fouet contre l’Oracle et l’exécution de Touchedieu avaient plus ou moins jeté l’ombre sur cette histoire. Et même si personne ne pouvait relier explicitement Lorenzo et Gabriel cela faisait toujours un peu désordre. D’autant que certains, pour se dédouaner, criaient à qui voulait l’entendre qu’ils ne tenaient plus en laisse leur propre chien, justifiant pour cela que quelqu’un d’autres l’avait amadoué avec un bon morceau de viande. C’était pathétique, mais la parole d’un homme vaut le crédit que les autres lui portent, et il y a toujours des imbéciles pour croire tout ce qu’on leur dit…

La réponse de « Francesco » fut trop succincte et beaucoup trop évasive au goût du Comte. Négocier les tenants et aboutissants d’un « contrat » comme ils s’apprêtaient à le faire nécessitait de la réflexion et surtout d’être à même à contenter l’autre partie. A vrai dire, Lorenzo se fichait éperdument du soutien de l’Organisation en Italie, car il l’avait déjà. Une lettre par ici, une autre par là et Rome aurait déjà une réponse favorable à sa demande. Il ne fallait pas oublier que lui aussi avait rendu de nombreux services au Pape. Quant à la renommée, elle était trop secondaire pour être prise en compte. Mais visiblement son interlocuteur était plus intéressé par l’homme qui venait de rentrer et s’était installé au bar. Soit. Jetant un œil au dit homme, Lorenzo se renconcentra sur Francesco :

« - Il semble en effet que traiter avec votre cousin sera sans doute plus efficace et profitable à nos deux parties. Je vous suggère de revoir vos méthodes, il se pourrait que votre cousin soit déçu de devoir voir se détourner un soutien potentiel pour des mots maladroitement choisis. »

Il se leva, laissant par là même son verre de vin encore intouché sur la table.

« - Effectivement, j’ai mieux à faire que d’entendre ce que je sais déjà. Si votre cousin parvient à nous rejoindre ou si vous avez de nouvelles directives, vous savez où me trouver. Car je ne pense pas être celui qui ait le plus à perdre dans cette affaire. »

Il salua l’Inquisiteur.

« - Bon séjour à Forbach, Monsieur Corvin, mais méfiez-vous, dans cette ville, le danger ne dort jamais. »

Sans attendre quoique ce soit, il se détourna de la table et prit la direction de la sortie, récupérant au passage son manteau. La serveuse, qui le vit partir, vint le rejoindre et ils échangèrent quelques mots. Il acquiesça et sortit. Quelques minutes plus tard, la jeune fille passait elle aussi la porte avec ses maigres affaires. La voiture, qui attendait toujours dehors, repartit vers le Château alors que le soleil était au ponant.

Oblivius

Il se leva et salua son interlocuteur. Après le départ de celui-ci, il se rassit rapidement et fît le point. Bon cela aurait pu être pire mais il avait déjà fait mieux. En fait, trouver des arguments pour le convaincre et cela n'était pas si évident que ça et il songea un instant à agir a découvert. Mais pour le moment il resterai Francesco Corvin, le simple cousin d'Alfred. Il alla voir l'homme au bar, et ils discutèrent un long moment puis se quittèrent. La nuit était déjà bien avancée et il décida d'aller se coucher.

Ce fut les rayons du soleil qui le réveillèrent au petit matin. Il se leva rapidement après une nuit calme. Un petit déjeuner mit fini a l'envie que lui exprimait son ventre. Il s'en alla en ville pour la visiter de fond en comble. Ses pensées restèrent, néanmoins sur le problème auquel il devait faire face. Peut-il se passer du soutien de Maestriani ou non ? Comment trouver les arguments pour le convaincre ? Et quel profit pourrait-il faire en l'aidant ? Toutes ses questions le tiraillèrent et le menèrent devant le château du dirigeant de Forbach. Il se reprit rapidement et partit dans les profondeurs de la ville.