The Witch Slay
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion

Partagez | 
 

 Mathieu Mevel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Mathieu Mevel
Paysan(ne)
Paysan(ne)
Mathieu Mevel


Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitimeJeu 7 Avr 2011 - 11:00

Mathieu Mevel 2a4u34j

Mathieu Mevel Autreh10
Mathieu Mevel Autres10

Mathieu Mevel Effigi11

Nom : de Voegelberg (Mevel).

Prénom : Alexander (Mathieu).

Surnom : NR.

Âge : 18 ans.

Titre : Vicomte. (NR)

Métier : Noble. (Paysan)

Lieu de Résidence : Château de Schönbrunn, Autriche ; Château de Frauenberg. (Maison familiale abandonnée en Bretagne)

Relations particulières : Aucune.

Sentiments vis-à-vis de l’Inquisition :
Mathieu n’a jamais réellement eut à faire avec l’Inquisition. Il a déjà vu, de loin, des bûchers de soi-disant Sorcières. Il ne comprend pas que l’on puisse être à ce point violent et inhumain. Ils disent tenter de sauver les Hommes mais Mathieu est intimement convaincu qu’ils servent avant tout eux-mêmes et que les Hommes sont bien plus menacés par l’Inquisition qu’ils ne seront sauvés par elle.

Sentiments vis-à-vis des Sorcières :
Mathieu ne croit pas vraiment à l’existence des Sorcières. Ayant vécu simplement et modestement, il n’a jamais eu à faire avec ces femmes ou ces hommes dotés de pouvoirs particuliers. Pour lui, cela semble impossible, improbable. La vie lui prouvera peut-être le contraire, mais, la concernant, il n’attend plus grand-chose d’elle.

Objectif éventuel de développement : Je suis assez ouvert d’esprit. Toute idée sera la bienvenue, étudiée, discutée et potentiellement envisagée.

Signe distinctif : Aucuns.

Description physique :
Mathieu est un jeune homme bien formé et athlétique. Lorsqu’on le lui demande, il répond que cela provient des entrainements d’escrime et de la lutte que l’on pratique beaucoup en Autriche, mais, en vérité, c’est le labeur des champs qui a travaillé son corps. L’effort de la pauvreté, du travail pour la subsistance, rien de plus. Rien de bien glorieux n’est-ce pas ? Ses cheveux tirant sur le noir sont désordonnés et il ne fait pas beaucoup d’efforts pour qu’ils rentrent dans le rang. Ils sont très bien comme cela, qu’il soit paysan ou noble. Il tient la plupart de son visage, et surtout ses yeux, d'un bleu azur très clair, de sa mère. Ses traits sont imprégnés d’une douceur évidente, peut-être même un soupçon de charme androgyne. Mathieu apprécie beaucoup cette douceur, il n’aime pas la brutalité des traits de certains hommes. Il sait que c’est encore là les traits de sa jeunesse et que peut-être ils durciront avec l’âge, mais il n’est pas pressé. Il porte également un fin filet de barbe sur le menton qui tient plus du duvet que de la vraie barbe. Concernant son apparence globale, Mathieu est très soucieux de son physique et de sa présentation. En tant que noble, il lui faut faire attention à ce qu’il porte, que tout soit propre et surtout faire distingué et habillé. Certains peuvent lui envier ses tenues néanmoins il ne fait pas dans l’extrême extravagance, le but est de convaincre, et non de taper à l’œil. Loin des regards des nobles, il se contente de frusques plus populaires mais toutefois très bien entretenues. Avec son passé, Mathieu a appris à faire beaucoup de choses lui-même, et avec qualité. Aussi ses chemises reprisées semblent presque neuves. Il donne l’air d’un riche paysan ou d’un noble droit et discret, en fonction de la situation, mais ne vous inquiétez pas, Mathieu sait tromper son monde.

Description psychologique :
Le jeune (et vrai) Mathieu est discret, timide et réservé. En tant que fils cadet de la famille, il en a toujours été ainsi. Rabroué par ses frangins plus âgés, il a su se créer une carapace sous laquelle il pouvait se réfugier lorsque les brimades se faisaient trop fortes. Secouru par sa mère la plupart du temps, il était le chouchou, ce qui lui valait surement davantage de brimades des autres hommes de la famille, mais il vouait un amour sincère pour sa mère, comme un fils bien entendu, non comme un amant. C'est ce même amour, aujourd'hui refoulé, gardé au fond de lui, qui ne demande qu'à ressortir. Altruiste et prêt à tout pour les autres, il n’hésitait pas à se tuer aux travaux des champs pour sa famille. Encore aujourd’hui, il est travailleur et n'hésite pas à mettre la main à la tâche lorsque les apparences ne sont pas en jeu. Mathieu est proche des gens lorsqu’il est au naturel et qu’ils le sont aussi. Vrai et sincère lorsque c’est possible, il n’aspire qu’à être lui-même hélas, la plupart du temps, il doit être celui qu’il incarne. Mais ce noble est un reflet de Mathieu tirant néanmoins d’avantage plus sur l’aventurier. Mathieu Von Voegelberg est un noble attirant, un soupçon séducteur et très badin. A la fois proche et éloigné du cliché des nobles de l’époque. Il est à la fois le reflet du paysan et de son contraire. Pour être convainquant, il n’hésite pas à pousser certaines choses à l’exagération, comme beaucoup de nobles le font.

Autre(s) : NR.

Mathieu Mevel Vita_a11


La vie paysanne n'a rien de fascinante, je vous l'assure. Naître dans une famille pauvre qui contient déjà deux fils ne fait pas de vous un enfant très aimé, car cela fait avant tout une bouche supplémentaire à nourrir. J'ai néanmoins eu la chance, si l'on peut l'appeler ainsi, de ne pas être noyé ou abandonné par mes parents. Je crois que mon père l'avait désiré mais ma mère s'y était farouchement opposée. Je lui dois beaucoup et, encore aujourd'hui, c'est vers elle que se tournent le plus souvent mes pensées. Je n'ai pas grand souvenir de mes années précédant mes six ans. Que des images floues et disparates, des sensations particulières sur lesquelles il m'est impossible de mettre un nom. Il serait absurde d'essayer de vous les décrire, ainsi donc nous ferons comme si ma vie commençait six années plus tard, en 1632.

Dès que j'ai eu suffisamment de forces pour me tenir sur mes jambes et commencer à gambader seul, mon père me mit aux travaux des champs avec mes deux frères ainés. Je n'étais toujours pas apprécié par les autres hommes de la maison, sans vraiment comprendre pourquoi. Peut-être parce que j'avais encore une dette que je devais commencer à rembourser maintenant que j'étais suffisamment grand pour le faire. Je ne leur en ai jamais voulu pour leur dureté, je sais qu'ils n'étaient pas méchants, simplement que la pauvreté pousse surtout à penser à l'essentiel : la survie. Je ne le comprends que trop bien maintenant. Toutefois, si la pauvreté à plusieurs inconvénients comme, notamment, ne pas pouvoir manger à sa faim, être regardé de haut, brimé par des gens mieux vêtus... Mais ce n'est pas très important. On peut apprendre à vivre avec la faim, on apprend à faire fi des brimades ; elle a aussi des avantages : travailler dans les champs est surement plus éprouvant et formateur que tous les enseignements d'escrime imaginable. Je dois ma force et mon physique à mon statut de paysan, et croyez-moi, je ne renie pas mes origines, malgré ce que l'on pourrait penser. Je ne cherche pas ignorer ce que je suis, mais bel et bien le contraire.

Vous ne comprenez surement pas ce que je veux dire, mais je vais tâcher de vous l'expliquer. Néanmoins pour cela, je dois d'abord vous raconter la fin de la vie telle que je l'ai connue. Nous sommes en 1642, j'ai maintenant seize ans et je suis un jeune homme fringuant et en bonne santé mais je suis seul. Durant ces dix années, la famille Mevel a été terrassée. Mais ce ne sont pas les épidémies, ni l'Inquisition qui sont responsables de cela, mais simplement la pauvreté. Ce fut l'un de mes frères qui succomba le premier. Blessé dans les champs à cause de la malchance, il s'était ouvert l'abdomen sur un outil rouillé. Notre mère avait fait tout ce qu'elle pouvait mais nous n'avions pas les moyens de nous offrir les services d'un herboriste ou d'un médecin. La plaie s'est, comme vous vous en doutez, infectée et mon frère décéda au cours d'une nuit. Nous l'avons enterré à l'arrière de la maison, mais j'étais loin de me douter, à ce moment, que ce ne serait que le premier d'une trop longue série. Ma mère avait été profondément affectée par la mort de Jean, mon frère. Malgré nos attentions, à Marc et moi, nous n'arrivions pas à la consoler totalement. Je pense qu'elle s'est laissée mourir de chagrin, car un matin, elle ne s'est pas réveillée. Encore une fois, je me suis alors retrouvé derrière la maison, une pelle à la main, creusant la tombe de ma propre mère, le coeur entaillé par le chagrin et je savais déjà que même le temps ne pourrait refermer complètement cette blessure. Il ne restait plus que mon père, Pierre Mevel, et mon frère, Marc, l'ainé de la famille. Après la mort de Jean, nous nous étions rapprochés tous les deux et nous faisions notre maximum pour assurer nos travaux en plus de ceux de Jean. Notre père commençait à fatiguer et lui aussi regrettait trop amèrement son épouse. Ce soir-là, il avait trop bu surement. C'était mon anniversaire et pourtant c'était une journée comme les autres. J'avais enfin seize ans, j'étais un homme mais mon père allait au plus mal. Abattu par le chagrin, complètement ivre, il commença à me mettre tous les fardeaux dont il était affligé sur le dos : la mort de ma mère, Marie, de mon frère, Jean... Il était saoul, je ne lui en voulais pas, mais tout bascula lorsqu'il fracassa la bouteille contre la table et me menaça de son tesson. J'aurai très bien pu mourir ce soir-là si mon frère ne s'était pas interposé entre le verre et ma poitrine. Mon père ne réagit pas suffisamment rapidement pour retenir son coup devant la surprise. Marc s'effondra dans mes bras, du sang ruisselait abondamment sur son torse mais il eut encore la force de me sourire. Mon père, devenu fou par ses regrets d'avoir tué son premier fils, celui qu'il aimait le plus, s'enfonça lui-même le tesson dans la poitrine, droit au coeur, espérant en finir au plus vite.

Ainsi, le soir de mes seize années, je me retrouvais derrière la maison, creusant les tombes de mon père et de mon frère. Savez-vous l'enseignement que j'ai tiré de tout cela ? Que la pauvreté est surement le pire des Fléaux, le plus sournois. C'est ce soir-là que j'ai décidé que je ne me contenterai pas de ma pauvreté. J'ai enterré ma vie passée, mais pas ma véritable condition, car je ne connaissais toujours ma place, en regardant brûler la maison dans laquelle j'avais grandi. Avec mes affaires et les maigres provisions qu'il restait, je tournais le dos à mon passé, une résolution en tête, celle de résister à la pauvreté, de ne pas finir comme le reste de ma famille. De vivre ma vie comme j'étais, Mathieu, de faire ce que je désirais, peu importe que je sois un paysan ou non.


Voilà pourquoi je suis tel que vous me voyez ainsi, richement vêtu. Je suis toujours le paysan d'il y a deux ans, je suis fait de la même chair, du même cœur, des mêmes sentiments, j'ai juste rajouté un masque de noble, un masque qui fonctionne très bien. Peut-être serait-il judicieux de vous raconter davantage comment j'en suis arrivé là n'est-ce pas ? Allez, je suis magnanime, je vais vous raconter, mais reprenez une tasse de thé tout d'abord, je vous en prie.

Après avoir quitté les « terres » de ma famille, il m'avait d'abord fallu apprendre à survivre. Pour une bouchée de pain, je proposais mon aide pour une journée à des paysans en quête de bras. La nuit, je me reposais un peu puis je continuais mon périple. Je me rappelle avoir passé plusieurs jours de suite sans manger parfois. Heureusement, les quelques rivières que je croisais étaient généreuses en poissons et je n'étais pas trop manchot pour en attraper. Quelques semaines plus tard, j'ai atterri dans une ville jouxtant un château. Je ne me souviens plus du noble qui habitait là mais son nom importe peu. Après être arrivé, j'ai réussi à me faire embaucher comme serviteur au Château. Une livrée par an, nourri et logé, c'était déjà bien plus que je n'avais connu, toutefois, lorsque l'occasion se présenta d'obtenir davantage, je ne pus m'empêcher. Cette occasion, c'était d'obtenir un ensemble complet m'allant à la perfection. Le propriétaire des lieux avait d'environ le même âge que moi et j'étais à ses ordres. Lassé de servir les riches, j'avais décidé sur un coup de tête, d'en devenir un pour les apparences, pour en finir avec la pauvreté. Ce soir-là, j'ai volé ces vêtements et je suis parti, loin, très loin, vers le sud du Royaume.

Bien entendu, l'apparence ne suffit pas pour devenir comme eux. Il faut de l'argent, beaucoup d'argent, ce que je n'avais pas. Et une chose était sûre, ce n'était pas dans les petits villages ou dans les champs que j'en trouverais. J'avais passé quelques semaines de servitude dans la cour d'un château, suffisamment pour comprendre que certaines personnes étaient influençables, pour peu que l'on utilise les bons mots et les bons arguments. Les parvenus ne manquaient pas dans ce milieu, pourquoi ne pourrais-je pas vivre moi-même de leur richesse, moi le pauvre ? J'ai rejoint alors un autre grand château, je me suis offert un nom, inventé de toute pièce, et une histoire infaillible. Je l'avais répété tout le long de mon trajet, allant jusqu'à repousser ma réelle existence au plus profond de moi. Dans le mensonge, il fallait être infaillible pour réussir. La première entrée du Vicomte de Voegelberg ne fut pas remarquée, ce qui n'était pas plus mal, toutefois j'avais réussi mon coup, mais j'étais encore l'agneau parmi les loups et je devais jouer très serré. Je me rappelle encore de ces premiers mets raffinés que j'ai mis en bouche ce premier soir et de la terreur qui me rongeait le ventre, combien j'avais été rassuré en ressortant, rangeant mes affaires et me trouvant un petit tas de paille pour dormir.

Mais il me fallait plus que manger pour faire l'illusion. C'est alors que le jeu a véritablement commencé. Les premières discussion, les premiers regards. Je fuyais les discussions politiques, généralement en hochant de la tête affirmativement à mon interlocuteur, mais je répondais volontiers sur mes origines, françaises et autrichiennes. Que mes parents m'avaient poussés en France pour me former et me faire découvrir du pays. Ce fut également les premiers regards de jeune femme. Sans que je ne m'en aperçoive, la première s'était approchée de moi. Je n'aime pas me servir des gens, mais elle fut la première « victime ». Elle fut mon premier billet vers la richesse.


Je pense que vous devinez la suite n'est-ce pas ? Je ne roule pas sur l'or mais j'ai maintenant suffisamment de quoi faire pour jouer mon rôle comme il le sied. J'ai rôdé mon mensonge depuis deux ans, fréquenté une dizaine de Cour différentes et je n'ai plus peur de la pauvreté. Mais, au fond de moi, je suis toujours ce paysan timide et réservé qui ne désire que vivre comme tout homme le mérite. Lors de mes voyages, je travaille encore parfois dans les champs pour continuer à me souvenir de ma vie, de ce que je suis. Je suis resté Mathieu Mevel dans mon âme, dans mon coeur, mais pour les apparences, je suis Mathieu de Voegelberg. Trouverais-je un jour le moyen de redevenir pleinement ce que j'étais ou me suis-je engagé sur un chemin de non-retour ?

Mathieu Mevel Lusor310

Comment avez-vous entendu parler de The Witch Slay ? NR.

Qu'est ce qui vous à le plus plu sur ce forum ? NR.

Disponibilité : NR.


Dernière édition par Mathieu Mevel le Mar 19 Avr 2011 - 11:02, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/t1143-mathieu-mevel
Mathieu Mevel
Paysan(ne)
Paysan(ne)
Mathieu Mevel


Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Re: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitimeJeu 7 Avr 2011 - 11:01

Pour lancer le personnage, j'aurai besoin certainement de relations particulières.
Alors si ça vous intéresse, n'hésitez pas.

Mathieu.
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/t1143-mathieu-mevel
Europe
Fugitive
Fugitive
Europe


Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Re: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitimeDim 10 Avr 2011 - 1:55

Vraiment navrée pour cette lenteur!

Rien à redire sur cette fiche complète et rodée Wink Tu es tu es VALIDE!. Tu peux d'ores et déjà aller consulter le Registre des Rôles si tu en as besoin, ainsi que te créer un Inventaire et une Galerie. Bienvenue sur TWS!!
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/Premieres-Lueurs-c5/Le-Recueil-f
Narcissa de Saint-Loup
Apprenti(e)
Apprenti(e)
Narcissa de Saint-Loup


Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Re: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitimeDim 10 Avr 2011 - 14:33

Bienveeenuuueeeeee ! Very Happy

Et pleins de bonnes choses pour la suite et tout...

Trop sympa ton personnage ! Very Happy

As-tu reçu mon mp pour ma demande de relation ?
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/sorcieres-d-olrun-f48/narcissa-d
Louisa Zimmerman
Baron(ne)
 Baron(ne)
Louisa Zimmerman


Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Re: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitimeMer 13 Avr 2011 - 22:21

Bienvenue à Forbach charmant... embobineur !

J'ai une idée aussi ! Smile
Lou aurait put te croiser à Pais à sa dernière visite en automne. ^^
Étant donnée tes origines elle aurait probablement retenu ton nom.
C'est une piste bien sûr.

Bon jeu parmi nous !
cheers
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/fiches-personnages-f3/mademoisel
Contenu sponsorisé




Mathieu Mevel Vide
MessageSujet: Re: Mathieu Mevel   Mathieu Mevel Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Mathieu Mevel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Witch Slay :: Premières Lueurs :: Le Recueil :: Fiches Personnages :: Autres Habitants-