Soldat de l'Inquisition
 |  Sujet: Marcus T. Andoras  Sam 21 Jan 2012 - 22:24 | |
| Nom : Andoras Prénom : Marcus Trajan Surnom : " Le Bâtard " , " Mano Sinistra " , " Le Croquemitaine " Âge : 44 ans Titre : Noble Métier : Agent Inquisitorial Il travail pour l'inquisition, avec les même pouvoirs et devoirs que l'inquisition mais sous le sceau du secret. Aux yeux de tous, il n'est qu'un simple itinérant. Lieu de Résidence : -vient d'arriver- Relations particulières :Marcus entretien une relation particulière avec le Saint Siège, mandaté par la papauté, il craint autant qu'il respect tout membre de l'église, du prêtre à sa Sainteté elle-même Sentiments vis-à-vis des Sorcières :
"Tu ne permettras pas à une sorcière de vivre"Voilà ce qui est écrit dans la bible, voilà le code de conduite officiel de Marcus. Cependant, bien qu'il soit un zélé, Marcus a toujours sût comment agir pour faire prévaloir l'Eglise. Comprenez, il déteste les sorcières, et cela au plus profond de son être, au plus profond de sa chaire, mais, il ne se lance pas dans une chasse aux sorcières violente et sanglante, non, il est bien plus fourbe, il commence déjà par tenter de sa rapprocher d'un groupe, en quand il a obtenu toutes les informations nécessaires, quand il a déterminé les têtes pensantes, à ce moment il sort de l'ombre et fait subir à ces hérétiques la toute puissance de la sainte l'église catholique. Il saura ainsi libérer un sorcier si cela lui permet d'en tuer dix autres, mais attention, ne voyez dans aucun de ses gestes "gentils" avec les sorcières une quelconque compassion. C'est lui qui jettera sa torche pour allumer leur bûcher. Objectif éventuel de développement :" Soyez sûr que vos pêchés retomberons sur vous..."Trouver le repos, arrêter ses activités inquisitoriales et surtout obtenir le pardon pour ses pêchés. Et peut être, en côtoyant les sorcières, se rendre compte qu'elles ne sont pas créatures du diable. Signe distinctif :" Regardez un peu mieux cette anneau monseigneur... "Porte à sa main droite, à l'annulaire une chevalière aux armes du Pape (les clefs croisées), faite en or, elle est le symbole de son office et lui fut remis par le cardinal. Porte autour du coup et en permanence un chapelet qu'il retire et égraine lorsqu'il doit prier. Usé et abimé par le temps, le bois des perles en est patiné à force d'utilisation. Description physique :" L'habit ne fait pas le moine "Commençons par ce que l'on remarque en premier, la silhouette, 1m80, voilà donc un grand gaillard, du genre à dominer la majorité des sorcières qu'il passe à la question. Notre homme bien que physiquement taillé par un sculpteur antique quand on considère sa musculature, reste assez fin, ne tombant alors pas dans le cliché de la grosse masse qui vous décolle des tartes comme l'on distribue des bonbons. Assez fin pour sa taille, on garde de lui une image d'un homme svelte presque un peu maigre pour peu que les temps ont été difficile. Bien proportionné, il porte souvent des vêtements passe-partout, assez proche de l'homme du peuple sans tomber dans le vêtement de clochard. Bien entendu, en cas de réunion avec quelques importantes instances, il sait se mettre en valeur. Arrêtons nous je vous prie quelques instants sur son visage. Taillé à la serpe, il demeure fin et anguleux. Gardant le plus souvent ses cheveux à la taille mi-long et la barbe de trois jours, il n'a rien de quelqu'un prenant énormément soin de lui et pourtant il en exulte ainsi une simplicité toute réfléchie. Portant les yeux aux couleurs acajou, on y découvre un certains plaisir a se laisser se noyer dans son regard, il faut avouer qu'il a un physique agréable et que son sourire est un véritable rayon de soleil. Cependant, lorsqu'il vient à devenir froid et dur pour ses raisons, ce qui et rarement bon signe pour la personne en face de lui, l'on sent alors émaner de lui toute une violence contenue avec soin, une rage dissimulée sous le suaire pudique de la bienséance. Son regard met alors mal à l'aise et sa voix qu'on trouvait réconfortante et chaude devient glaciale et tranchante comme une déclaration de mise à mort. Ha, un observateur attentif remarquera deux choses, la première, il est évident qu'on a inculqué le maniement des armes à Marcus, la seconde et pourtant la plus frappant et qu'il est gaucher, enfin, qu'il est probablement né gaucher et qu'on lui a forcé dès son plus jeune âge à user de la main droite. C'est surtout en combat qu'il est déroutant de le voir passer en fausse patte. Description psychologique :" Le Mal triomphe là où les hommes de Bien ont échoué "Une vision manichéenne du monde le divise en deux, le bien et le mal, le blanc et le noir, ce qui est juste et ce qui ne l'est pas. Dès lors, dans une telle vision, force est de constater que Marcus ne pouvant faire partie des hommes de biens, il ne peut dès lors qu'être dans la deuxième catégorie. Mais chaque chose en son temps. Marcus est quelqu'un de froid, de calculateur, de méticuleux, il peut passer deux ans infiltré dans une cabale de sorcier pour enfin avoir accès à la tête et ainsi la trancher quand le moment est opportun. Ainsi, notre inquisiteur sait quand il lui faut être patient, c'est par ailleurs un professionnel du mensonge, mentant sans vergogne dans le but d’assouvir son objectif. L’Acédie
" Une victoire ne demande explication, une défaite n'en permet aucune "L'inaction, ne rien faire... Andoras sait quand il faut agir, il sait faire mûrir ses plans mais déteste l'inaction, il déteste rester passif sans que ses actions n'aient la moindre influence. Il est le premier à châtier les hommes paresseux sous sa responsabilité. L'Orgueil
" Eus-je été présent à la création, j'aurais donné quelques précieux conseils.. "Homme sans terre, Marcus déteste cependant qu'on lui rappel ce statut, il déteste par ailleurs devoir subir des ordres et être obligé de fléchir le genou devant une quelconque autorité, hors sa Sainteté et les cardinaux. Il déteste quand on appui sur certains évènements de son passé, il déteste quand on lui rappel ses échecs, ses erreurs et pire que tout quand on lui rappel pourquoi il est là et dans quel but il a accepté de servir la Sainte Inquisition. La Gourmandise
" Tu ne veux vraiment où je vais... "Vilain défaut qu'est la curiosité, sauf quand on est membre de la sainte inquisition. Marcus a un appétit vorace de savoir, il connait le prix de la connaissance et sait combien il est onéreux. Mais, mettez le sur la piste de quelques livres interdits et vous pouvez être sûr qu'il les cherchera puis les lira... Avant bien entendu de les détruire par le feu. Enfin... Peut être, on murmure dans des coins sombre du Vatican que, dans sa demeure personnel à Rome, il existe une bibliothèque secrète dans laquelle réside milles livres de sciences, interdits pour la plus part, extrêmement rarissimes. Certains seraient dans des langues que notre bon inquisiteur ne pourrait même pas comprendre. La Luxure " La Chaire est Faible, seul l'acier est Juge... "Un homme de Dieu se doit d'être pieux, il se doit de résister à la chaire. Mais Marcus n'a jamais prononcé ses vœux, dès lors pourquoi se priver! Redevenons sérieux, Marcus n'a rien d'un Casanova, cependant, il demeure en lui une profonde tristesse, un profond manque d'affection. Oui, Andoras se sent profondément seul, et quand on a comme lui l'importante mission confiée par le Vatican, on ne peut se permettre d'aimer. Dès lors, il lui arrive souvent de commettre le pêché de chaire mais, quand l'acte est fini, quand les amants d'un soir se repose de leur acte primaire, il y a une certaine tendresse qui ressort de lui quand il enlace sa Eve. L’Avarice " Le savoir, c'est le pouvoir "Marcus est avare de secrets, il se nimbe d'un voile mystérieux, se rendant énigmatique, répondant rarement aux questions ayant sujet à sa vie préférant laisser les imaginations s'enflammer, préférant les gens se créer des chimères, les laissant à leurs fantasmes. La Colère " Ne vous inquiétez pas, c'est totalement personnel... "Sans être un sadique, Marcus est une personne extrêmement violente, c'est d'ailleurs lui qui fait passer à la question les hérétiques qu'il capture et tous ont toujours avoué. Il ne prend pas de plaisir dans cette violence, mais il la voit comme une arme, un moyen utile, simple, et efficace. Cette violence peut parfois ressurgir dans des cas de frustrations et d'échecs. Il n'est alors pas rare de trouver sa chambre totalement chamboulée, les chaises fracassées comme si un régiment de cadet de Gascogne avaient stationné. L'Envie " Que Dieu ait pitié de ce qui se dresse face à moi, car moi, je n'en n'aurais aucune... " Marcus n'envie qu'une seule chose, le repos, le repos de son âme, il n’envie que le pardon papale pour ses crimes et ceux de sa famille, qu'enfin il puisse se dire en paix et cesser cette existence de chasse et de traque, qu'enfin il puisse arrêter d'ajouter à une longue liste des noms de sorcières qu'il a condamné au bûcher pour leurs fautes. Autre(s) :Il parle également trois langues de façon courante, l'espagnole, le latin et bien entendu le français. Possède un véritable don pour le mensonge et cacher ses sentiments, ce qu'il ressent. Il sait parfaitement comment réagir pour simuler un sentiment.  Acte I L'hérésie engendre le Châtiment" Il est des hommes que Dieu à oublié. "
Scène 1 : Ce qui commença
" Les histoires qui commencent par il était une fois peuvent finir dans le sang et les larmes. "
Il y a plus de quarante hivers de cela naquit à quelques lieux de Saint-Auban, Marcus Trajan Andoras. Il n'est point intéressant pour nous de connaître son enfance en tant que tel, sachez juste qu'il fut élevé dans l'amour de ses parents, dans le respect de Dieu, dans l'érudition et la connaissance du maniement des armes, qu'il porta le titre de chevalier. Sa famille était reconnue et appréciée de ceux qui la connaissait, il est important de noter que le frère du père de Marcus, et ainsi donc son parrain, est évêque, il est d'ailleurs pressenti pour devenir cardinale. Ce fut à l'âge de ses 17 ans qu'il se maria avec Maria Delrissi, fille d'un autre noble de la région. Voilà, vous savez les grandes lignes des origines du Mal...
Scène 2 : Une Naissance, une Mort.
" Car tu es la chaire de ma chaire que nul ne pourra lever la main sur toi sans me craindre. "
"Poussez!", voilà ce que crie la sage femme à Maria alors que Marcus attend dehors, il a vingt ans depuis trois mois et son premier enfant va naître, il se sent fébrile, impatient, excité, tendu. C'est un déluge de sentiments qui submergent notre jeune homme, jusqu'à ce que les cris se stoppent. Ne devraient ils pas y avoir alors les pleurs de l'enfant?
La porte s'ouvre doucement sur lui, il entend un léger gémissement, la sage-femme regarde alors celui qui aurait dut être père avec toute la peine du monde dans ses yeux, faiblement, elle souffle :
-Votre enfant n'a put naître monseigneur, je suis désolé.
Mort né, à l'instar du suicide, le petit n'aura pas le droit au paradis car non baptisé. Le regard d'Andoras fils se troubla, et il tomba, la douleur l'ayant submergé. Commença alors une lente mais inexorable descente aux enfers.
Scène 3 : La Trahison
" Certaines blessures n'ont pas la chance d'avoir été causé par une lame. "
L'on réagit tous à la douleur de façon différentes. De par sa fonction et son titre, Marcus ne laissa rien transparaître, feinta l'indifférence, la force, la résolution. C'est à partir de cet instant qu'il découvrit ce "don" du mensonge, paraître comme on le souhaitait. Malheureusement, Maria n'avait ni cette force ni cette détermination, et voire son mari feindre l’indifférence ne l'aida en rien sur pour faire le deuil de cet enfant mort-né.
La jeune femme resta cloîtrée dans sa chambre pendant deux mois entiers, refusant la présence de son mari, passant ses journées à prier. A l'aube du 64° jours depuis l'accouchement, l'on trouva son cadavre écrasé dans la cours, elle avait sauté de la fenêtre. Même si aucune émotion ne traversa le visage de Marcus, il se senti dévasté, sa femme rejoignait son fils dans les limbes de l'enfer et c'était de sa faute.
Dévasté, il chercha auprès de son parrain réconfort, comment supporter de vivre en sachant que les deux êtres auxquels il tenait le plus étaient condamnés à la damnation éternel?
Le cardinal en devenir lui parla alors de la sainte inquisition...
Acte II Rédemption
" Maintenant, il s'engage sur la route des ténèbres, celle dont on dit que personne ne revient "
Scène 1 : Pénitence
" La voie de la vertu est longue, accidentée et pleines d'embûches "
Le parrain de Marcus devint cardinale 7 mois après le décès de la femme de ce dernier. Homme particulièrement assoiffé de pouvoir, il vit dans la détresse de son filleul un moyen de gravir les marches du pouvoir. Il parla à Marcus de la Sainte Inquisition et lui fit comprendre que, s'il la rejoignait, et qu'il remplissait les devoirs qui incombaient à la dangereuses tâches de chasseur de sorcières, il pourrait insister auprès de sa sainteté pour qu'il fasse ré-enterrer les restes de sa femme et de son fils sur un sol consacré en leur offrant le pardon pour leurs fautes, dès lors ils iraient au paradis, rejoignant la droite du Seigneur.
Par cette action le nouveau cardinal espérait avoir un pied dans l'inquisition et pouvoir ensuite la chapeauté pour s'assurer une prise facile sur le trône papale quand celui-ci deviendrait vaquant, quitte à ce qu'il aide un peu sa sainteté à rejoindre le créateur.
Marcus sans poser la moindre question accepta.
Scène 2 : Au service de la Papauté
" L'Enfer est pavé de bonne attention. "
Marcus fut formé pendant quatre années, quatre années à épauler des inquisiteurs déjà en service, ce fut donc lui qui devait faire passer à la question les hérétiques présumés, pour cela il fut envoyer en Espagne, terrain de chasse privilégié de la justice cléricale. Il apprit un peu plus à manier les armes, un peu plus à trouver le mensonge, il apprit la force et le pouvoir que lui octroyait son statut, il découvrit les travers de cette église en partie corrompue, il découvrit le massacre d’innocents, mais rien n'ébranla sa détermination, il se battait pour une juste cause, du moins, il se battait pour sa cause, pour les sauver.
Après quatre années de loyaux services comme acolyte, il fut enfin nommé Inquisiteur et put lui même mener ses propres investigations, recevant l'anneau comme symbole de son office auprès de la Sainte Église Catholique de Rome.
Acte III De Feu et d'Acier
" Tuer les tous, Dieu reconnaîtra les siens."
Scène 1 : La Sorcière de Milan
" Car il est des monstres qui à jamais terrifient. "
La première affaire de Marcus fut celle de la sorcière de Milan, on supposait que dans la campagne environnant la ville de Milan résidait une vieille sorcière, deux mois et trois tortures plus tard, notre jeune inquisiteur découvrit le lieu supposé de villégiature de l'honnis personnage.
Sauf qu'il s'avéra que ladite sorcière n'était qu'une jeune enfant. Elle était également sage femme et appréciée par tout les paysans. Tous pensaient qu'il fallait qu'elle vive, mais l'église n'était pas de cette avis. Andoras se rendit seul au beau milieu de la nuit à la demeure de la petite fille et le lendemain matin, le bûcher commençait à s'éteindre, l'endroit embaumant la chaire brûlée.
On dit que les soirs de pleine lune l'on peu encore entendre les hurlements de douleurs que faisait la sorcière quand Marcus la passait à l'interrogatoire. On murmure même qu'il l'aurait tué plusieurs fois et se serait servi de la magie impie qu'elle avait soigneusement inscrite dans ses ouvrages pour la faire revivre et ainsi lui faire subir le supplice encore et encore. Ce fut à partir de ce moment là que commença à circuler d'horribles rumeurs sur Marcus T. Andoras, la main gauche du Seigneur.
Scène 3 : La Cabale des Etoiles
" Craint de Dieu, redouté du Diable. "
Trente-six ans, plus de dix ans que Marcus est inquisiteur, il a son actif 47 sorcières brûlées en Espagne sans compter les inquisiteurs trop laxistes qu'il a fait condamné ou qu'il a même exécuté de ses mains. Le Vatican voit en lui une puissante arme, un agent doué et surtout efficace par sa technique, en effet, habitué à travaillé en solo, il a développé une technique d'infiltration, rejoignant les cabales, déterminants les têtes pensantes et quand il a enfin mis à jours tout le réseau, frappant d'un coup, tranchant d'un même mouvement toutes les têtes, toutes les ramifications.
Et c'est ce soir, après un travail de deux ans qu'il va faire le coup de filet du siècle, il va faire tomber le cabale de l'étoile, secte de sorcières adorateurs de la déesse Lune, une groupe d'hérétique qu'il a infiltré, doucement, lentement, et voilà son coup d'éclat. En cette nuit du quatorze Octobre, il ajoute vingt-et-une sorcières et sorciers à son palmarès. En ce soir il sent son orgueil gonflé alors qu'il se rend à la réunion "secrète" du cabale, accompagné d'une dizaine de gardes qu'il a réquisitionné via l'anneau papale qu'il a engoncé à son doigt, il est le bras armé de Dieu.
Acte IV : L'affaire Forbach
" Il est plus sûr d'être craint que d'être aimé. Alors qu'ils me craignent. "
Scène 1 : Ce qui est
" Quand on vous demande quelques choses, ça a toujours l'air facile. "
Cela fait vingt-quatre ans depuis la mort de son épouse, trois depuis la mort de son parrain, et il est toujours au service de sa Sainteté bien qu'elle ait changé entre temps. Beaucoup de choses changent, lui par exemple, ses missions aussi. Oh, il chasse toujours des sorcières, toujours à sa façon, lente et méthodique, mais il chasse aussi les inquisiteurs qui auraient dévié de la voie. Sa sainteté a reconnu ses capacités et a fait de lui sa main gauche, son croquemitaine. Sa présence étant rarement bon signe, que cela soit pour les adorateurs de Satan, comme pour ceux qui ont osé dévier de la sacro-sainte inquisition.
Bien entendu, officiellement, il n'est rien, il n'est qu'un simple voyageur, mais derrière cet anneau qu'il garde toujours, il a de puissantes influences, celle d'un chasseur. Il traque l'hérésie dans ses moindres recoins, il est devenu craint par les serviteurs du malin comme par ceux du seigneur qui se demandent s'il n'est pas venu pour eux.
Un cardinal l'a convoqué au nom de sa Sainteté, on lui voit attribuer une nouvelle mission.
Scène 2 Ce qui sera
" J'ai tutoyé la Mort. "
La mission qu'on lui a confié est simple finalement, du moins pas pire que les autres, traquer les sorcières présentent à Forbach et vérifier également qu'aucun membre de l'inquisition ou de l'église présent en ces lieux n'a été détourné par le Malin. Officiellement, sa mission est sous le sceau du secret, nul ne doit être au courant de ses desseins.
Il y a de fortes chances qu'aucun inquisiteurs n'aient entendu parler de lui vu qu'il a plus travailler dans le Sud de l'Europe, mais, n'importe qui ayant un peu d'influence dans la cité pontificale a dût recevoir un précieux courrier l'informant de sa venue. La seule chose qu'ils doivent ignorer sont les raisons exactes qu'il l'amène. Chasse aux sorcières ou aux traitres...
 de lien en lien Qu'est ce qui vous à le plus plu sur ce forum ?Le côté sombre du BG Disponibilité :4/7
Dernière édition par Marcus Trajan Andoras le Mar 24 Jan 2012 - 11:11, édité 2 fois |
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Contente de voir un nouveau membre gonflant les rangs de l'Inquisition, nous étions en manque d'effectifs ces derniers temps!
N'oublie pas que depuis les évènements de base décrits dans la partie "Contexte" du forum, près de 19 ans se sont écoulés dans le jeu, dont de très nombreux évènements essentiels. Si ce n'est pas déjà fait, je t'invite à prendre connaissance de l'intégralité de ceux-ci dans les 
